Aller au contenu
 







Menu principal
   


Navigation  



Accueil
Portails thématiques
Article au hasard
Contact
 




Contribuer  



Débuter sur Wikipédia
Aide
Communauté
Modifications récentes
Faire un don
 








Rechercher  

































Créer un compte

Se connecter
 









Créer un compte
 Se connecter
 




Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus  



Contributions
Discussion
 



















Sommaire

   



Début
 


1 Biographie  





2 L'éditeur  





3 Controverse concernant l'extrême droite  





4 Œuvres  



4.1  En collaboration avec Claude Sellier  





4.2  Comme anthologue et directeur de collection  







5 Notes et références  





6 Annexes  



6.1  Bibliographie  





6.2  Enregistrements audio  





6.3  Enregistrements vidéo  





6.4  Liens externes  
















Michel-Georges Micberth






کوردی
فارسی
مازِرونی
 

Modifier les liens
 









Article
Discussion
 

















Lire
Modifier
Modifier le code
Voir lhistorique
 








Outils
   


Actions  



Lire
Modifier
Modifier le code
Voir lhistorique
 




Général  



Pages liées
Suivi des pages liées
Téléverser un fichier
Pages spéciales
Lien permanent
Informations sur la page
Citer cette page
Obtenir l'URL raccourcie
Télécharger le code QR
Élément Wikidata
 




Imprimer/exporter  



Créer un livre
Télécharger comme PDF
Version imprimable
 




Dans dautres projets  



Wikiquote
 
















Apparence
   

 






Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
 

(Redirigé depuis Micberth)

Pour les articles homonymes, voir Berthe.

Michel-Georges Micberth

Michel-Georges Micberth en 2008.
Biographie
Naissance


Tours (Indre-et-Loire, France)

Décès

(à 67 ans)
Autremencourt (Aisne, France)

Nom de naissance

Michel-Georges Berthe

Nationalité

françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata

Formation

École BrassartVoir et modifier les données sur Wikidata

Activités

Écrivain, éditeur, journalisteVoir et modifier les données sur Wikidata

Autres informations
Parti politique

Nouvelle Droite françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata

Membre de

Jeune Force poétique françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata

Mouvement

Mouvement autobusiaqueVoir et modifier les données sur Wikidata

Michel-Georges Berthe, dit[1] Michel-Georges Micberth, est un éditeur, pamphlétaireetécrivain français né le à Tours et mort le à Autremencourt dans l’Aisne[2]. Il se revendiquait anarchiste de droite.

Biographie[modifier | modifier le code]

Michel-Georges Berthe naît le à Tours[3],[4], d'un père breton et d'une mère angevine. Dès son plus jeune âge, maltraité par ses parents dans le décor ravagé de l'après-guerre[5], il écrit dès l’âge de 8 ans[4], par défi, des poèmes qui seront édités bien plus tard, en anthologie, par Jacques-Pierre[6] et Jean Grassin[7]. Mme Renaud, professeur au conservatoire à rayonnement régional de Tours, utilisera ces poèmes pour apprendre l'éloquence à un jeune comédien qui deviendra Jacques Villeret[8].

À 13 ans en 1958, il crée les Jeunesses gaullistes révolutionnaires, un mouvement en faveur du retour du général de Gaulle[4].

Dans son adolescence, il commence à publier des fanzines[9]. En 1963, après son passage à l'école Brassart où il a étudié les arts graphiques et la publicité[10], il fonde la Jeune Force poétique française[11] à laquelle participent Alain Fournier, plus connu sous le pseudonyme d'A. D. G.. Le grand poète Louis Aragon, malgré son engagement communiste, en sera le président d'honneur[12].

Dans le cadre de son émission quotidienne Rendez-vous aux Champs-Élysées, Europe 1 lui donne une importante audience en radiodiffusant ses textes et ceux de ses amis[13]. En 1967, il fonde le mouvement autobusiaque, consacré à la publication de poèmes et de pièces de théâtre[14].

En 1969, il se présente à l'élection présidentielle, mais, bien qu'ayant le nombre de signatures de maires requis, sa candidature sera annulée par le Conseil constitutionnel. Reprenant un article du journal Le Mondedu, le futur ministre de la Recherche du gouvernement Lionel Jospin, Roger-Gérard Schwartzenberg, dans son livre sur la guerre de succession nous dit : « In extremis, au soir du , deux jeunes gens chevelus (sic), venus tout droit d'Indre-et-Loire, déposent à la hâte une liste de signatures du « philosophe » et chercheur M.-G. Micberth[15].

Il est également clinicien des hôpitaux psychiatriques de la préfecture de la Seine[16]. De 1968 à 1971, il dirige le Centre d'études et de recherches expérimentales du Plessis[17],[18].

En1972, il fait paraître le journal Actual-Hebdo[19], qui n'existera que durant un an mais lui permettra d'acquérir une réputation de virulent pamphlétaire[20]. Dans Le Crapouillot[21] paraît en 1973 L'anthologie du pamphlet de la Libération à nos jours ; Éric Asudam, pseudonyme de Micberth, qui n'a que 26 ans, y figure aux côtés de ses aînés, souvent disparus, Anouilh, Céline, Mauriac, Bernanos, Léon Daudet, Bloy, etc.

Jacques d'Arribehaude a écrit en 1988 dans le Bulletin célinien[22] :

« Les textes de Micberth […] ont l'admirable éclat d'une série de beignes appliquées à toute volée sur les faces de pitres, de loufiats et de tarés qui règnent sur ce pauvre monde et mettent à l'abrutir une opiniâtreté, une haine, une infamie dans la délation et le sournois verrouillage juridique, qui rendraient aimable le souvenir de l'Inquisition.

Dans ce monde à ce point asservi et rampant, la sainte colère de Micberth, son ironie meurtrière, sont un réconfort, une bouffée d'oxygène, proprement inestimables. […] Tant de verve, et de si haute tenue, ne peut que mettre en appétit, mais il s'y mêle aussi, tout comme chez Bloy, des pages d'émotion, de gravité poignante, de poésie pure, qui témoignent d'une souveraine maîtrise de style dans une langue merveilleusement vivante. »

La même année, il lance le mouvement politique Nouvelle Droite française (qui n'a aucun lien avec le GRECE, souvent appelé Nouvelle Droite) qui se veut « révolutionnaire », « aristocratique » et « anti-républicain ».

Jean-François Kahn, dans son ouvrage La Guerre civile paru au Seuil en 1982 ne semble guère apprécier le style télévisé du leader de la NDF :

« […] Rat, hyène, chauve-souris », « marmot à tête de rat, demi-saxon, demi-juif », écrira Bernanos en 1931 ; chien, microbe, et même « colin froid », avancera Jean-Edern Hallier dans son propre numéro stalinien de mutation zoologique de l'ennemi : et si l'adversaire n'était qu'un ver parasite infiltré dans l'intestin de la société ? Ainsi s'exprime, en effet, dans le cadre d'une tribune libre de FR 3, […] Michel-Georges Micberth au nom de la « Nouvelle Droite » : « Depuis le 10 mai, les éructations, les bruits de lavements, de conduites et d'égouts se sont peu à peu imposés à nos oreilles, alors que les flonflons de l'accordéon giscardien devenaient de plus en plus inaudibles. Car c'est bien le 10 mai qu'avec effroi les Français ont entendu battre la porte de leurs ouatères, les terrifiantes rumeurs sortant des cuvettes, sous le battement lancinant des lunettes et le cliquetis des chasses. L'immonde sanie socialo-communiste sortait des fosses pour se répandre dans une insoutenable puanteur sur tout notre pays. Ce fut le temps des helminthes triomphants, des ascaris couronnés, des cestodes exultants et des oxyures ébahis. Bref, les déjections prenaient le pouvoir. »

Habitué des déclarations « provocatrices », Micberth a souvent été qualifié d'anarchiste de droite, voire d'extrême droite[23] (unQue sais-je ? aux PUF, lui a été en partie consacré). Lui préfère se définir comme « aristocrate libertaire ».

Ses activités lui vaudront une vie très aventurière[24] et des ennuis avec les autorités, qui le soupçonnent un temps de menées subversives[25]En, Michel-Georges Micberth est arrêté pour avoir détenu un chéquier volé au nom de l'ancien président de la république Georges Pompidou[26],[27]. L'affaire dite « des chèques Pompidou » fait de lui l'un des rares journalistes à être, depuis la Libération, incarcérés en France dans le cadre d'une « affaire politique »[28]. Libéré quelques semaines plus tard, il est défendu par l'avocat Georges-Paul Wagner[29]. En 1975, il tire de cette affaire un livre, intitulé Pardon de ne pas être mort le . Il écrit dans un avertissement :

« Mon souci n'a pas été d'offrir au lecteur une œuvre littéraire, mais le témoignage d'un homme loyal qui se bat pour ses idées, le cri du combattant qu'on a voulu assassiner un soir de 15 août dans ce sale pays, la France giscardienne, qui ment, qui vole et qui tue[30]. »

Il est condamné, en décembre 1975, à quinze mois de prison avec sursis[31] puis relaxé en appel en 1979.

Michel-Georges Micberth a publié un roman, des pamphlets, essais, poèmes et dessins humoristiques sous le pseudonyme de Freuslon[32]. À partir de 1986, il s'est consacré à l'édition de la collection Monographies des villes et villages de France qui comptait, en 2011, 3 150 titres parus dont de nombreux dictionnaires départementaux.

Las des incessantes poursuites judiciaires provoquées par la violence de ses textes, Micberth cesse d'écrire des pamphlets dans les dernières décennies de sa vie. Il a fait sienne cette pensée de Pascal[33] :

« Nous sommes si présomptueux, que nous voudrions être connus de toute la terre, et même des gens qui viendront quand nous ne serons plus ; et nous sommes si vains que l'estime de cinq ou six personnes qui nous environnent nous amuse et nous contente[34]. »

.

Michel-Georges Micberth meurt le à Autremencourt dans l’Aisne[3],[4]. Son épouse et collaboratrice, Virginie Beaufils-Micberth, poursuit son œuvre éditoriale[réf. nécessaire]

L'éditeur[modifier | modifier le code]

Au cours de sa vie professionnelle, Micberth a publié un peu moins de 5 000 titres dont 3 000 monographies sur l'histoire locale de la France. Il a rapidement rattaché à sa structure éditoriale et à son réseau commercial[35], une imprimerie qui lui donne une totale liberté de création[36] et une librairie en ligne qui sert encore aujourd'hui les particuliers et les libraires spécialisés[37].

Dès le premier choc pétrolier en 1973, il s'attache à faire de la reprographie une technique d'imprimerie aussi fiable que jadis l'offset. Ce qui a pour effet de proposer aux lecteurs des petits tirages sur des sujets à faible public avec un prix de vente par ouvrage qui ne soit pas trop prohibitif. Trente ans plus tard, le moindre imprimeur de labeur sera doté d'un matériel de reprographie, procédé leader dans les pays occidentaux.

Controverse concernant l'extrême droite[modifier | modifier le code]

En, le directeur de La Tour de feu, revue philosophico-poétique, qui publie Adrian Miatlev, écrit, à propos du jeune poète Micberth : « Le fascisme en poésie, n'a pas meilleure gueule qu'ailleurs[38]. » Avec cette apostrophe naît une sulfureuse légende, selon laquelle Micberth serait d'extrême droite[39].

Micberth se dit, lui, de droite, tout en étant libertaire dans ses révoltes contre la société[40], il est l'auteur de Ch… dans la gueule de Dieu et se torcher le cul avec « Présent »[41]. On pouvait lire en 1984, sous sa plume, dans un article surtitré Colère :

« Je n'aime pas l'extrême droite […] Je crois que la démocratie, en raison de son système indirect, n'a jamais été qu'une utopie fort dangereuse. En refusant de se donner les moyens d'être vraiment démocratique, elle nous oblige à un perpétuel balancement entre les extrêmes de gauche et de droite, pareillement détestables. En omettant de prendre en compte les épiphénomènes les plus cruels de son histoire, en utilisant négativement ses forces politiques comme tristes exutoires occasionnels, elle perpétue la barbarie et freine l'évolution intelligente des hommes. En s'embourbant dans un extrême centre (on me passera la plaisanterie) elle désespère ses citoyens et les livre en pâture à toutes les aventures rutilantes mais pernicieuses du destin[42]. »

L'anarchisme de droite dont se revendiquent Micberth et François Richard semble cependant, pour Bruno Deniel-Laurent, une pure construction dont ceux-ci feraient usage afin de se réclamer d'une tradition littéraire, Micberth étant considéré comme « l'une des personnalités anarcho-droitistes les plus prestigieuses »[43]. Il est à noter que M. Richard ne s'est pas compté comme auteur dans le florilège des écrivains étudiés dans son travail[44] et que Micberth a été étranger à la conception de cette thèse[45] passée sous la responsabilité des universitaires du jury (présidé par Henry Bouillier)[46] qui a reçu M. Richard, docteur ès lettres, Robert Mauzi[47], professeur émérite à la Sorbonne, qui l'a édité dans sa très sérieuse collection Littératures modernes[48] et les collaborateurs (autour de A.-L. Angoulvent-Michel) des PUF, dans un Que sais-je ? vendu a plusieurs milliers d'exemplaires (8e mille en 1997)[49].

Micberth soutient néanmoins la démarche des négationnistes dans leur volonté de « chercher la vérité » (sans pour autant adhérer à leurs thèses)[50], et taxe Bernard-Henri Lévyde« Juifaillon » à la suite d'un article dans lequel celui-ci considère que Nabe est un « écrivaillon nazi »[51]. François Richard, dans sa thèse, citée plus haut, qu'il consacra à l'anarchisme de droite dans la littérature, fait de Micberth le plus grand représentant de cette tendance, aux côtés de Louis-Ferdinand Céline, Édouard Drumont, Lucien Rebatet, Roger Nimier, Louis Pauwels, Arthur de GobineauouLéon Bloy. Micberth entretient également une amitié tumultueuse avec l'écrivain A.D.G.[52]. Ce dernier lui dédie d'ailleurs son premier roman[53].

Œuvres[modifier | modifier le code]

  • Les Pensées de l'escalier
  • Le Pieu chauvache
  • Les Vociférations d'un ange bariolé
  • Petite Somme contre les gentils (Allocutions télévisées FR3)
  • La Lettre
  • Ce que dicte la conscience (De Mai 68 à l'affaire des chèques Pompidou)
  • Révolution droitiste (en collaboration)
  • Les Gros Niqueurs (en collaboration)
  • Mimi sait tout
  • Nouveau Pal et triques variées
  • Les Soliloques d'un vieux bandeur
  • Entretiens parachroniques avec Anne Lorde
  • En collaboration avec Claude Sellier[modifier | modifier le code]

    Claude Sellier est un nom de plume de François Richard

    Au Livre d'histoire, Paris

    • La Bourgogne, 1993
  • La Franche-Comté, 1993
  • La Bretagne, 1993
  • Le Centre, 1994
  • La Picardie, 1993
  • La Champagne-Ardenne, 1993
  • La Normandie, 1994
  • L'Alsace, 1997
  • Le Nord-Pas-de-Calais, 1999
  • L'Aquitaine, 1999
  • Le Limousin, 2000
  • La Picardie II, 2000
  • La Provence, 2001
  • Les Pays de la Loire, 2005
  • L'Auvergne, 2005
  • Comme anthologue et directeur de collection[modifier | modifier le code]

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    1. Selon l'état civil : Acte de naissance no 1276. Autorisé à prendre un patronyme substitutif par acte notarié à Limeray en 1969 avec modification des papiers d'identité. La famille paternelle, qui ne parlait pas français mais bretonetgallo, n'a fixé son patronyme Berthe que sur deux générations, jadis on écrivait Berth, Berte, Bert, etc. Certains descendants de l'éditeur portent le patronyme Micberth ; Berthe tombera probablement en désuétude à la disparition de l'auteur.
  • Relevé des fichiers de l'Insee
  • aetb Insee, « Michel-Georges Berthe dans le fichier des décès », sur deces.matchid.io (consulté le )
  • a b cetd « Autremencourt / Nécrologie Michel-Georges Micberth n'est plus » [archive du ], sur lunion.presse.fr, (consulté le ) : « Michel-Georges Micberth, est décédé à son domicile d'Autremencourt le mardi 19 mars. Né le 12 août 1945 à Tours, il était écrivain et éditeur depuis trente ans. »
  • Micberth repères biographiques, p. 11, ACFM, Paris 1992.
  • Maurice Bourrigault dit Jacques-Pierre, fondateur en 1966 de la Taverne aux poètes. Auteur de nombreuses anthologies de poèmes. Il est resté dans les mémoires pour avoir créé l'association Les écrivains et poètes de l'Anjou.
  • Encyclopédie générale de la poésie française. Séquences. 1964, Jean Grassin, Paris
  • Micberth et les années 60, Anne Carpentier, le Livre d'histoire, 1999. Nouvelle édition en livre de poche, fin 2011 (ISBN 2-84373-430-4).
  • De 1960 à 1980, Micberth fonde et dirige une dizaine de journaux et revues. Choc (1961-62) premier fanzine français avec une bande dessinée de Bernard Deyriès, Publichoc (1962), La Force (1965), La nouvelle Force, Séquences, Révolution 70 (pendant les événements de Mai 68), Actual-Mensuel, Actual-hebdo (qui connut une notoriété nationale). Après les années 1980, Révolution droitiste, Plaisir de lire, le Nouveau Pal, La Lettre de Micberth, etc. Plus près de nous, le 6 juin 2010 est paru le no 879 du périodique Histoire locale.
  • Micberth et la jeune force poétique française sur archeologie.cg37.fr (consulté le 18 septembre 2015)
  • Le petit Montmartre tourangeau. Tours, le quartier Paul-Bert et ses mémoires, Gérard Lecha, L'Harmattan, 1988
  • Les nouvelles passerelles de l'extrême droite, Thierry Maricourt, éditions Syllepse, 1997, p. 85-86.
  • La Poésie en France, Jean-Paul Gourévitch, Éditions ouvrières, 1966
  • Le Romantisme aujourd'hui, textes réunis par Daniel Leuwers, Samuel Tastet éditeur, Paris 2005. « Le mouvement autobusiaque », p. 165-169.
  • La Guerre de succession - Les élections présidentielles de 1969, Roger-Gérard Schwartzenberg, Presses universitaires de France, 1969. Quid des présidents de la République, Dominique Frémy, Éditions Robert Laffont, 1981.
  • L'hôpital psychiatrique de Chezal-Benoît dans le Cher (où fut enfermé Antonin Artaud) dépendait en 1971 des hôpitaux psychiatriques de la Préfecture de la Seine. Micberth y exerça la psychologie clinique et la psychothérapie, dans le service du neuro-psychiatre, médecin directeur et expert près les Tribunaux, le docteur Jean Dussartre qui écrivit : « M. Micberth a été un excellent collaborateur dont le dévouement m'a été particulièrement précieux ». (Voir site consacré à l'auteur).
  • Du nom du château du Plessis à Limeray où il résidait alors.
  • Micberth et la pseudomicrocaulie, Gérard Lecha, p. 9-43, La Mémoire Lige, 1973.
  • La France marginale, Irène Andrieu, Éditions Albin Michel, 1975.
  • Frédéric Saenen, Dictionnaire du pamphlet, 2010 Infolio, p. 121,131,189.
  • Le Crapouillot, août-septembre 1973, direction Michel Eberhard, Anthologie du Pamphlet de la Libération à nos jours.
  • À propos de La Lettre, le Bulletin Célinien, no 67, mars 1988.
  • L'Extrême droite en France, Bernard Brigouleix, Éditions Intervalle/Fayolle, 1977. Les néo-nazis, Jean-Marc Théolleyre, Éditions Temps actuels, 1982. Les Hommes de l'Extrême droite, Alain Rollat, Éditions Calmann-Lévy, 1985.
  • « Les rebelles sont parmi nous : Micberth et Debord », Bertrand de Saint-Vincent, Le Quotidien, juillet 1991, no 3614.
  • Micberth, anarchiste de droite, François Richard, p. 141-173. Editions Comédit, Paris 1992 (ISBN 2-909112-14-4).
  • Thierry Maricourt, Les Nouvelles Passerelles de l'extrême droite, Syllepse, 1997, page 86
  • Le Monde du lundi 26 août 1974 titré L'affaire des chèques Pompidou ;
  • Le Monde du samedi 21 janvier 1984. « Affaire dite des chèques Pompidou ».
  • Chronologie sur le site officiel Micberth.com.
  • op. cit., p. 11.
  • PEINES D'EMPRISONNEMENT AVEC SURSIS POUR LE RECEL DES " CHÈQUES POMPIDOU ", Le Monde, 22 décembre 1975
  • Biographie, sur le site consacré à Micberth.
  • Micberth et les années 60, op. cit., p. 355-356.
  • Micberth ou la vie rebelle. François Richard. 1982 Archives ACFM. Origine : Texte de l'édition Brunschvicg, paru chez Garnier en 1957.
  • Le Livre d’histoire-Lorisse.
  • Lorisse numérique.
  • Histoire locale. Catalogue en ligne.
  • La Tour de feu de Pierre Boujut. Revue de presse, juin 1965.
  • Le Monde du 15 juin 1976. « L'extrême droite à la recherche de son avenir » par Bernard Brigoulex.
  • FR3 Tribune Libre. 20 avril 1976, Vers une Nouvelle Droite réalisée par J.-C. Michelot. 3 juin 1977, Apologie de l'abstention réalisée par Jean Douchet. 19 décembre 1979, Il y a « Nouvelle droite » et Nouvelle droite réalisée par J.-C. Lemonnier.
  • Le Nouveau Pal. septembre 1982. No 14. ISSN 0247-1353.
  • La Lettre, Res Universalis éditeur, 1984.
  • Bruno Deniel-Laurent, « Michel-Georges Micberth (et les anarchistes de droite) », Cancer!,‎ (lire en ligne), no 2, version archivée par la Wayback Machine. (?)
  • Dans l'édition de référence de février 1988 (PUF), on trouve principalement Gobineau, Barbey d'Aurevilly, Bloy, Drumont, Darien, Léautaud, Bernanos, Céline, Daudet, Rebatet, Anouilh, Laurent, Nimier, Pauwels, Micberth, Aymé, etc. Mais pas une trace de François Richard, auteur anarchiste de droite, PP. 229-238.
  • Voire hostile. Micberth aurait préféré la notion d'aristocrate libertaire plus proche de sa propre sensibilité. M. Richard a fait un cursus universitaire, à titre personnel, sans lien avec Micberth, sous la direction de M. Henry Bouillier.
  • Bouillier (Henry). (1924-..) Universitaire français. Agrégé des lettres, Docteur ès lettres, Master of Art (Oxford). Professeur émérite (1992) à Paris-Sorbonne.
  • […] trajectoire brillante et sûre d'un grand professeur dont l'enseignement a largement franchi les frontières françaises pour répondre à mainte invitation : Canada, États-Unis, Amérique du Sud, Égypte, Hongrie, Australie, Japon, etc. Trajectoire qui fut donc couronnée en 1969 par l'entrée à la Sorbonne. La Gazette des Délices, revue de L'Institut et du musée Voltaire, Automne 2006. ISSN 1660-7643
  • Cette collection universitaire de très haut niveau, fondée aux PUF par Jean Favre, a inscrit, sans état d'âme et dans l'histoire littéraire, L'anarchisme de droite avec, le romantisme, le surréalisme, le symbolisme, etc. p. 245-247 (ISBN 2-13-041408-7). On est loin de l'articulet malveillant (évoqué plus haut) d'un jeune publiciste angevin en manque de notoriété.
  • Edition no 2580. p. 1. 1997. PUF.
  • Article Révisionnistes (Historiens) de l'encyclopédie micberthienne.
  • Micberth, La Lettre. Voir l'article consacré à BHL sur l'encyclopédie micberthienne.
  • Article consacré à ADG sur l'encyclopédie micberthienne.
  • « À tous les hors-la-loi d'hier et d'aujourd'hui, à tous les rifodés, malingreux, mercandiers, coupe-jarrets, coquillards, sabouleux, mercureaux, faux-sauniers, tire-laine, courtauds de boutanche, fractureux, gens de la petite flambe, hubains, narquois drilles et rôdeurs de filles, à tous nos jeunes morts, à Bonnot, Loutrel, Danos, à Casanova et au docteur Michel-Georges MICBERTH qui est aussi des nôtres. » dédicace de La Divine surprise, Gallimard, coll. « Carré noir », p. 7(ISBN 2-07-043545-8).
  • Site consacré à la collection.
  • Annexes[modifier | modifier le code]

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    (Sur l'auteur ou son œuvre)

    Enregistrements audio[modifier | modifier le code]

    Enregistrements vidéo[modifier | modifier le code]

    Liens externes[modifier | modifier le code]

    Sur les autres projets Wikimedia :

  • Site consacré à Michel-Georges Micberth
  • Regards sur Micberth. (Micberth.org) La vie et l'œuvre de M.-G. Micberth (citations, extraits de textes, actualité…)
  • Micberth et la Jeune Force poétique française
  • Définitions, aphorismes, citations : rubrique Dico sur Micberth.org et Wikiquote.

  • Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Michel-Georges_Micberth&oldid=215932519 ».

    Catégories: 
    Écrivain français du XXe siècle
    Écrivain tourangeau
    Anarchiste français
    Polémiste
    Pamphlétaire
    Éditeur français du XXe siècle
    Éditeur français du XXIe siècle
    Anarchisme de droite
    Naissance en août 1945
    Naissance à Tours
    Décès en mars 2013
    Décès à Autremencourt
    Décès à 67 ans
    Personnalité française incinérée
    Catégories cachées: 
    Article contenant un lien mort
    Page utilisant le modèle op. cit.
    Page utilisant P27
    Page utilisant P69
    Page utilisant P106
    Page utilisant P102
    Page utilisant P463
    Page utilisant P135
    Article utilisant l'infobox Biographie2 avec la charte écrivain
    Article utilisant l'infobox Biographie2
    Article utilisant une Infobox
    Article à référence nécessaire
    Page utilisant un modèle Bases inactif
    Article utilisant le modèle Dictionnaires inactif
    Article de Wikipédia avec notice d'autorité
    Portail:Édition/Articles liés
    Portail:Économie/Articles liés
    Portail:Littérature française ou francophone/Articles liés
    Portail:Littérature française/Articles liés
    Portail:Littérature/Articles liés
    Portail:France/Articles liés
    Portail:Europe/Articles liés
    Wikipédia:Article biographique
    Portail:Biographie/Articles liés/Culture et arts
     



    La dernière modification de cette page a été faite le 14 juin 2024 à 04:33.

    Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; dautres conditions peuvent sappliquer. Voyez les conditions dutilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence.
    Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.



    Politique de confidentialité

    À propos de Wikipédia

    Avertissements

    Contact

    Code de conduite

    Développeurs

    Statistiques

    Déclaration sur les témoins (cookies)

    Version mobile



    Wikimedia Foundation
    Powered by MediaWiki