Aller au contenu
 







Menu principal
   


Navigation  



Accueil
Portails thématiques
Article au hasard
Contact
 




Contribuer  



Débuter sur Wikipédia
Aide
Communauté
Modifications récentes
Faire un don
 








Rechercher  

































Créer un compte

Se connecter
 









Créer un compte
 Se connecter
 




Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus  



Contributions
Discussion
 



















Sommaire

   



Début
 


1 Histoire  



1.1  Avant les années 1950  





1.2  Années 1950  





1.3  Années 1960  





1.4  Années 1990  





1.5  Années 2000  







2 Question du consentement  





3 Assignation dans le cas de nourrissons avec des traits intersexes, ou dans les cas de traumatismes  





4 Réassignation sexuelle ou genrée  





5 Défis aux exigences du changement de sexe  





6 Critique du concept d'assignation sexuelle  





7 Bibliographie  





8 Notes et références  



8.1  Notes  





8.2  Références  







9 Voir aussi  



9.1  Articles connexes  
















Assignation sexuelle






العربية
Bikol Central

Cebuano
کوردی
Dansk
English
Español
فارسی
Suomi
עברית
Bahasa Indonesia
Italiano


Latviešu
Bahasa Melayu
Polski
Português
Русский
Simple English
Slovenščina
Türkçe
Українська
Tiếng Vit

 

Modifier les liens
 









Article
Discussion
 

















Lire
Modifier
Modifier le code
Voir lhistorique
 








Outils
   


Actions  



Lire
Modifier
Modifier le code
Voir lhistorique
 




Général  



Pages liées
Suivi des pages liées
Téléverser un fichier
Pages spéciales
Lien permanent
Informations sur la page
Citer cette page
Obtenir l'URL raccourcie
Télécharger le code QR
Élément Wikidata
 




Imprimer/exporter  



Créer un livre
Télécharger comme PDF
Version imprimable
 




Dans dautres projets  



Wikimedia Commons
 
















Apparence
   

 






Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
 


Cet article n’est pas rédigé dans un style encyclopédique ().

Vous pouvez améliorer sa rédaction !

Le fond de cet article sur la sexologie est à vérifier ().

Améliorez-leoudiscutez des points à vérifier. Si vous venez d’apposer le bandeau, merci d’indiquer ici les points à vérifier.

L'assignation sexuelle est le fait d'attribuer un sexe — se confondant en Occident avec le genre assigné à la naissance[n 1] — à un nouveau-né, en fonction de la détermination biologique de son sexe, in utero ou à sa naissance. Elle peut être effectuée avant la naissance par un examen prénatal de discernement, soit par des mesures d'observation des organes sexuels, soit par un caryotype. L'acte est presque universellement considéré comme une observation ou une reconnaissance d'un aspect inhérent au bébé.

Dans la majorité des naissances, un parent, une sage-femme, un infirmier ou un médecin examinent les organes génitaux quand le bébé arrive au monde et détermine son sexe, sans considérer une éventuelle intersexuation de l'enfant.

Pour les personnes transgenres, l'identité de genre n'est pas compatible avec leur sexe, ni avec le sexe selon lequel elles sont élevées[2]. Dans le cas des personnes intersexes, (celles dont les caractéristiques sexuelles (chromosomes, gonades, organes génitaux), ne correspondent pas typiquement aux notions de mâle et femelle), une assignation sexuelle erronée peut être un facteur de complications médicales ou peut s'avérer ultérieurement incompatible avec l'identité de genre de l'enfant[3]. Renforcer l'assignation sexuelle par des moyens chirurgicaux et hormonaux peut être perçu comme une mutilation et viole les droits de l'individu si ce n’est pas motivé par des raisons de santé[4],[5],[6].

L'idée ou l'expression d'assignation sexuelle est réfutée par ceux qui considérent que le sexe se déclare anatomiquement in utero, est clairement évident, et reconnu à la naissance sauf en cas d'intersexuation.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le discernement du sexe d'un enfant est le plus souvent considéré comme une observation ou la reconnaissance d'un aspect inhérent au nouveau-né[7].

Juridiquement, a minima en Occident, le sexe — « critère d’identification corporel, matériel, visuel de la personne », même si « rien n’impose à quiconque de se conformer aux caractères traditionnels de son sexe » et qu'il « n’est pas un élément absolument nécessaire à la reconnaissance et donc à l’identification physique de la personne » — est « un élément d’identification de la personne et son attribution est obligatoire »[8].

Lecode civil suisse parle d'une « condition naturelle », au même titre que l'âge et la parenté[9],[10].

Un rapport néerlandais sur l'enregistrement des genres indique que l'enregistrement du sexe a été introduit en 1811 aux Pays-Bas en tant que composante intrinsèque de l'enregistrement de la population. L'entrée en vigueur du code Napoléon cherchait notamment à éviter les fraudes permettant d'échapper à la conscription militaire[11]. De nombreuses dispositions discriminatoires de la législation n'existent plus, mais certaines restent pour des raisons incluant « la rapidité des procédures d'identification »[11].

Depuis 2013, l'Allemagne autorise à ne pas choisir entre sexe féminin ou masculin lorsque ces données sont ambigües[12]. En Nouvelle Zélande, qui s'est aligné sur l'une des normes de l'OMS, il existe trois catégories possibles, la troisième étant « un autre terme », tandis que l'Australie en répertorie quatre, la quatrième étant « sexe non binaire »[13].

Les critères d'assignation ont évolué au fil des décennies, comme la compréhension clinique des facteurs biologiques et des tests diagnostiques. Les techniques chirurgicales ont notamment changé.

Avant les années 1950[modifier | modifier le code]

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (janvier 2023)
Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

L'assignation est presque entièrement basée sur l'apparence des organes génitaux externes. Des médecins ont reconnu que, dans certaines conditions, les caractères sexuels secondaires apparents pouvaient se développer en opposition au sexe de la personne. De plus, dans les conditions où le sexe gonadique ne correspond pas à celui des organes génitaux externes, leur capacité à comprendre et à diagnostiquer ces conditions dans l'enfance étaient trop faibles pour tenter de prédire le développement futur.

Années 1950[modifier | modifier le code]

Les endocrinologues développent une compréhension de base des principales conditions intersexuées telles que l'hyperplasie congénitale des surrénales (HCS), le syndrome d'insensibilité aux androgènes, et la dysgénésie gonadique (DG) mixte. La découverte de la cortisone a permis la survie des nourrissons souffrant de graves HCS pour la première fois. De nouveaux tests hormonaux et caryotypes permettent un diagnostic plus précis dans l'enfance et une meilleure prévision du développement futur.

L'assignation sexuelle est devenue davantage que la simple détermination du genre dans lequel on éduque l'enfant, car elle a commencé à inclure des traitements chirurgicaux. La cryptorchidie peut être récupérée. Un clitoris grandement élargi peut être réduit à une taille commune, mais les tentatives pour créer un pénis ont été infructueuses. Des médecins et des psychologues, dont John Money, croyaient que les enfants étaient plus susceptibles de développer une identité de genre qui correspondent au sexe dans lequel se faisait l'éducation que ce que pourraient déterminer les chromosomes, les gonades, ou les hormones. Le modèle médical résultant a été appelé « modèle optimal de genre »[14].

L'idée de voir le genre comme étant une construction purement sociale, et l'identité de genre comme étant le résultat de l'éducation (acquis) plutôt que de la nature (inné) se développent en particulier dans les groupes libéraux, progressistes et académiques de la société occidentale. L'objectif principal de l'assignation était de choisir le sexe qui conduirait le moins à des contradictions entre l'anatomie externe et le psychisme assigné (l'identité de genre). Cela a conduit à la recommandation selon laquelle tout enfant, sans un pénis ou avec un pénis trop petit pour pénétrer un vagin pourrait être élevé comme une fille, afin de développer une identité de genre féminine ; ce serait ainsi la meilleure façon pour minimiser les divergences futures entre la psyché et l'anatomie externe chez les nourrissons déterminés à être biologiquement hommes mais sans un pénis qui répond à des normes médicales (par exemple, extrophie cloacale), ainsi que dans les cas de traumatismes accidentels de la petite enfance comme l'affaire John/Joan.

Années 1960[modifier | modifier le code]

Les chirurgiens pédiatriques ont tenté et ont prétendu avoir réalisé avec succès des reconstructions d'organes génitaux pour nourrissons, en particulier l'agrandissement ou la construction de vagins. Les règles de recommandation pour le changement de sexe et la chirurgie, de la fin des années 1960 jusqu'aux années 1990, étaient à peu près[réf. nécessaire] :

Années 1990[modifier | modifier le code]

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (janvier 2023)
Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

Un certain nombre de facteurs ont conduit à des changements dans les critères de recommandation pour l'assignation et la chirurgie. Ces facteurs ont inclus :

Années 2000[modifier | modifier le code]

Les recommandations cliniques pour l'assignation ont changé :

Ces recommandations ne nécessitent pas explicitement d'interventions chirurgicales ou hormonales pour renforcer l'assignation sexuelle, mais cette prise en charge médicale persiste dans le monde entier. Elle est justifiée par le souci d'atténuation de la détresse parentale et l'idée de réduire le risque de stigmatisation : l'enfant se sentirait plus « normal », ce qui améliorerait les perspectives de mariage[18].

Question du consentement[modifier | modifier le code]

Les controverses sur les aspects chirurgicaux de la gestion de l'intersexuation, ont souvent mis l'accent sur les indications pour la chirurgie et le moment opportun. Toutefois, les associations défendant les droits des personnes intersexes et les droits humains ont critiqué les modèles médicaux car ils ne sont pas basés sur le consentement des personnes sur qui ces traitements médicaux irréversibles sont menés, les résultats pouvant être inappropriés ou insatisfaisants[18],[19]. Anne Tamar-Mattis, par exemple, a déclaré que « le vrai choix n'est pas entre la chirurgie à réaliser maintenant ou plus tard, mais sur la chirurgie ou l'autonomie du patient »[19].

Cependant, alors que les interventions chirurgicales restent expérimentales, et la légitimité clinique dans la construction d'anatomies génitales « normales » n'a pas été confirmée, il n'existe pas encore de voies médicales crédibles autres que la chirurgie[20]. Les modifications apportées à ces recommandations cliniques en cours ne traitent pas encore les questions des droits humains sur le consentement et le droit à l'identité de l'enfant, à la vie privée, à la liberté sur la torture et les traitements inhumains, et l'intégrité physique[3],[4],[5].

En 2011, Christiane Völling a remporté le premier cas de procès intenté contre un chirurgien pour une intervention chirurgicale non consensuelle. Le tribunal régional de Cologne, en Allemagne, lui a accordé 100 000  de dommages et intérêts[21].

En 2015, le Conseil de l'Europe a reconnu, pour la première fois, le droit pour les personnes intersexes de ne pas subir de traitement de changement de sexe, de mettre en place des mises au point concernant la pathologisation des corps intersexes[3]. En avril 2015, Malte est devenue le premier pays à reconnaître le droit à l'intégrité corporelle et l'autonomie physique, et à interdire les modifications non consensuelles des caractéristiques sexuelles. La loi a été largement saluée par les associations de la société civile[22],[23],[24],[25],[26].

Assignation dans le cas de nourrissons avec des traits intersexes, ou dans les cas de traumatismes[modifier | modifier le code]

L'observation ou la reconnaissance du sexe d'un enfant peut être compliquée dans le cas des nourrissons ou enfants intersexes, et en cas de traumatisme précoce[7]. Dans de tels cas, l'assignation sexuelle requiert généralement un traitement médical (opération chirurgicale de réparation d'hypospadias, opération du clitoris, amputation du clitoris, excision, retrait de gonades viables, retrait d'organes de reproduction internes ou externes)[27] pour confirmer l'assignation, mais la légitimité de ces interventions est en partie contestée au nom du respect des droits humains[28].

L'intersexuation est un terme qui désigne, au sens large, la présence d'une ou plusieurs caractéristiques sexuelles atypiques parmi les éléments suivants : appareil génital, organes internes, tissus gonadiques, et chromosomes. Lorsque les organes génitaux externes semblent avoir des caractéristiques communs aux deux sexes, ils sont décrits comme ambigus[29].

Les cas de traumatismes incluent le cas John/Joan de David Reimer, dont le pénis avait été détruit lors de la circoncision, et où le sexologue John Money a déclaré que la réassignation d'homme vers femme à l'âge de 17 mois avait été un succès. Cependant, cette déclaration a été contredite plus tard : David Reimer, a été identifié comme homme. Par la suite, il publia son histoire pour décourager les réassignations sexuelles faisant fi du consentement de la personne concernée. Il se suicida à l'âge de 38 ans[16].

Selon Anne Fausto-Sterling, environ 1 nourrisson sur 500 présente suffisamment de divergence dans l'apparence des organes génitaux externes pour que l'assignation appropriée ne soit pas évidente[30]. Des exemples sont un clitoris exceptionnellement proéminent chez une fille par ailleurs apparemment typique, une cryptorchidie complète ou un léger hypospadias chez un garçon par ailleurs apparemment typique. Dans la plupart de ces cas, un sexe est provisoirement assigné et des tests sont effectués pour confirmer le sexe apparent. Les tests standards dans cette situation peuvent inclure des ultrasons pelviens pour déterminer la présence d'un utérus, de testostérone ou un niveau de 17-hydroxyprogestérone ou un caryotype. Dans quelques cas, un endocrinologue pédiatrique est consulté pour confirmer la tentative de réassignation sexuelle. L'assignation prévue est généralement confirmée en quelques heures à quelques jours dans ces cas.

Dans les pays pratiquant à large échelle les mutilations sexuelles féminines, il est possible que le sexe assigné corresponde au genre dans lequel se reconnaît la personne, mais induise, outre les dommages habituels des excisions, des difficultés de développement irréversibles en cas de l'ablation des embryons testiculaires, lorsque le cariotype est masculin[31].

Dans certains cas, le processus d'assignation est plus complexe. Il implique à la fois la détermination des aspects biologiques du sexe et le choix de la meilleure assignation sexuelle aux fins d'éducation de l'enfant. Environ 1 nourrisson sur 20 000 nait avec une ambiguïté suffisante pour que l'assignation nécessite de multiples tests et l'information des parents concernant la différenciation sexuelle. Dans certains de ces cas, l'enfant devra faire face à des difficultés physiques ou à la stigmatisation sociale quand il ou elle grandira, du fait de la binarité de la société. Se prononcer sur le sexe consiste à peser les avantages et les inconvénients d'une assignation plutôt qu'une autre. Se pose ainsi la question de la pertinence de l'obligation d'enregistrement du sexe[32].

Réassignation sexuelle ou genrée[modifier | modifier le code]

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (janvier 2019)
Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

Le changement de sexe est un changement de rôle de genre ou d'identité. Cela peut se produire dans plusieurs types de circonstances :

Défis aux exigences du changement de sexe[modifier | modifier le code]

Ces dernières années[Depuis quand ?], l'assignation sexuelle est de plus en plus contestée[11],[33]. Un rapport pour le ministère néerlandais de la sécurité et de justice stipule que « le genre semble de plus en plus perçu comme une caractéristique ressentie de l'identité, mais jusqu'à présent, il n'est pas considéré, ni protégé en tant que tel dans la réglementation de la vie privée »[11]. Les lignes directrices du gouvernement australien affirment que « les ministères et les bureaux qui recueillent des informations sur le sexe et/ou le genre ne doivent pas les recueillir à moins qu'elles ne soient nécessaires, ou directement en lien avec une ou plusieurs fonctions ou activités du bureau »[34].

Critique du concept d'assignation sexuelle[modifier | modifier le code]

Cette section ne respecte pas la neutralité de point de vue. (mai 2023).
Considérez son contenu avec précaution ou discutez-en. Il est possible de souligner les passages non neutres en utilisant {{passage non neutre}}.
N.B. Ce modèle est à réserver à des cas simples d'articles pouvant être neutralisés par un contributeur seul sans qu'un débat soit nécessaire. Lorsque le problème de neutralité est plus profond, préférez le bandeau {{Désaccord de neutralité}} et suivez la procédure décrite.

Selon l'American College of Pediatricians, une association minoritaire conservatrice de défense des pédiatres aux États-Unis qui milite contre le droit des personnes trans[35],[36], aucun enfant n'est « assigné » à un sexe ou à un genre à la naissance. Pour cette organisation, le sexe anatomique de naissance se déclare anatomiquement in utero et est clairement, évident et reconnu à la naissance sauf dans de rares troubles du développement sexuel (TDS)[37]. Elle indique aussi que les troubles du développement sexuel sont extrêmement rares, y compris le syndrome d'insensibilité aux androgènes et l'hyperplasie congénitale des surrénales, qui sont tous des déviations médicalement identifiables de la norme sexuelle binaire humaine[37].

Le philosophe américain Ryan T. Anderson (en), connu pour ses positions conservatrices[38], ne distingue pas le genre du sexe et estime que ce dernier n'est pas « attribué à la naissance » : c'est un fait corporel qui peut être reconnu bien avant la naissance grâce à l'imagerie échographique[39].

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La philosophe Françoise Collin relève à cet égard que si l'assignation à un sexe fonctionne comme un « constat organique », elle est aussi une « injonction programmatique normative » à se conformer au genre correspondant[1].

Références[modifier | modifier le code]

  1. Michela Marzano, « Vers l'indifférenciation sexuelle ? », Études (revue), vol. 411, nos 7-8,‎ , p. 41–50 (ISSN 0014-1941, DOI 10.3917/etu.111.0041, lire en ligne, consulté le )
  • David A. Diamond, Jeffrey P. Burns, Christine Mitchell et Kersten Lamb, « Sex assignment for newborns with ambiguous genitalia and exposure to fetal testosterone: Attitudes and practices of pediatric urologists », The Journal of Pediatrics, vol. 148, no 4,‎ , p. 445–449 (ISSN 0022-3476, DOI 10.1016/j.jpeds.2005.10.043, lire en ligne, consulté le )
  • a betc Council of EuropeetCommissioner for Human Rights, Human rights and intersex people, Issue Paper, (lire en ligne)
  • a betc Commission nationale d'éthique pour la médecine humaine, Attitude à adopter face aux variations du développement sexuel. Questions éthique sur l'« intersexualité », Berne, , 28 p. (lire en ligne)
  • aetb Involuntary or coerced sterilisation of intersex people in Australia, Australian Senate Community Affairs Committee, Octobre 2013.
  • (en) World Health Organization, Sexual health, human rights and the law, Genève, World Health Organization, , 72 p. (ISBN 978-92-4-156498-4)
  • aetb William G. Reiner, « Sex Assignment in the Neonate With Intersex or Inadequate Genitalia », Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine, vol. 151, no 10,‎ , p. 1044–1045 (ISSN 1072-4710, DOI 10.1001/archpedi.1997.02170470078014, lire en ligne, consulté le )
  • Géraldine Delavaquerie, « Vers une disparition du sexe juridique. Regard sur le sexe comme élément de l’état des personnes », sur Actu-Juridique, (consulté le )
  • Rapport du Conseil fédéraldu sur l'introduction d’un troisième sexe ou l'abandon de la mention du sexe dans le registre de l’état civil, ch. 2.1.1 ([lire en ligne (page consultée le 15.6.2024)]
  • Code civil suissedu (état le ), RS 210, art. 53.
  • a b cetd Marjolein van den Brink et Jet Tigchelaar, M/F and beyond, Gender registration by the state and the legal position of transgender persons. English summary, Ministerie van Veiligheid & Justitie, (lire en ligne)
  • « France : n’être ni fille ni garçon », sur ARTE Info via wikiwix (consulté le )
  • Statistique Canada Gouvernement du Canada, « Sexe à la naissance de la personne », sur www23.statcan.gc.ca, (consulté le )
  • (en) Australian SenateetCommunity Affairs References Committee, Involuntary or coerced sterilisation of intersex people in Australia, Canberra, Community Affairs References Committee, (ISBN 978-1-74229-917-4, lire en ligne)
  • Morgan Holmes, « Is Growing up in Silence Better Than Growing up Different? », Intersex Society of North America (consulté le )
  • aetb Théorie du genre : comment la première expérimentation a mal tourné, lefigaro.fr, 31 janvier 2014
  • « L'expérience tragique du gourou de "la théorie du genre" », lepoint.fr, 31 janvier 2014.
  • aetb Morgan CarpenteretOrganisation Intersex International Australia, « Submission to the Australian Human Rights Commission: Sexual Orientation, Gender Identity and Intersex Rights Snapshot Report », Sydney, Organisation Intersex International Australia,
  • aetb A. Tamar-Mattis, « Patient advocate responds to DSD surgery debate », Journal of Pediatric Urology, vol. 10, no 4,‎ , p. 788–789 (ISSN 1477-5131, DOI 10.1016/j.jpurol.2014.03.019, lire en ligne, consulté le )
  • Lih-Mei Liao, Dan Wood et Sarah M Creighton, « Parental choice on normalising cosmetic genital surgery », BMJ,‎ , –5124 (ISSN 1756-1833, DOI 10.1136/bmj.h5124, lire en ligne, consulté le )
  • Zwischengeschlecht, « Nuremberg Hermaphrodite Lawsuit: Michaela "Micha" Raab Wins Damages and Compensation for Intersex Genital Mutilations! » [text], (consulté le )
  • Mauro Cabral, « Making depathologization a matter of law. A comment from GATE on the Maltese Act on Gender Identity, Gender Expression and Sex Characteristics », Global Action for Trans Equality, (consulté le )
  • OII Europe, « OII-Europe applauds Malta's Gender Identity, Gender Expression and Sex Characteristics Act. This is a landmark case for intersex rights within European law reform », (consulté le )
  • Morgan Carpenter, « We celebrate Maltese protections for intersex people », Organisation Intersex International Australia, (consulté le )
  • (en) Star Observer, « Malta passes law outlawing forced surgical intervention on intersex minors », Star Observer,‎ (lire en ligne)
  • (en) Reuters, « Surgery and Sterilization Scrapped in Malta's Benchmark LGBTI Law », The New York Times,‎ (lire en ligne)
  • Anne Tamar-Mattis, JD,* Advocates for Informed Choice, « Report to the UN Committee Against Torture: Medical Treatment of People with Intersex Conditions », (consulté le ) : « In 2009, for example, the federally sponsored KIDS Inpatient Database reported 680 hypospadias repairs and 59 instances of “operations on clitoris, amputation of clitoris, clitoridotomy, [or] female circumcision.” These reported numbers do not include all US hospitals. [...] In some cases, sex-assignment surgery also removes viable gonads or other reproductive organs », p. 3
  • Mauro Cabral (dir.) et Morgan Carpenter (dir.), Intersex Issues in the International Classification of Diseases : a revision, (lire en ligne).
  • Ora Hirsch Pescovitz, Erica A. Eugster (2004).
  • (en) Anne Fausto-Sterling, Sexing the body : gender politics and the construction of sexuality, New York, Basic Books, , 473 p. (ISBN 978-0-465-07713-7, BNF 42630846)
  • M. Ellaithi, T. Nilsson, D. Gisselsson et A. Elagib, « Female genital mutilation of a karyotypic male presenting as a female with delayed puberty », BMC Women's Health, vol. 6, no 1,‎ , p. 6(ISSN 1472-6874, PMID 16571108, PMCID PMC1440851, DOI 10.1186/1472-6874-6-6, lire en ligne, consulté le )
  • « Faut-il supprimer la mention du sexe des papiers d’identité ? », sur France Culture (consulté le )
  • Emily Chan, « Get gender off birth certificates, B.C. activists argue », CTV News (consulté le )
  • (en) AustraliaetAttorney General's Department, Australian Government Guidelines on the Recognition of Sex and Gender, (lire en ligne)
  • (en) Tara Haelle, « Transphobic Parent Activists Target Journalists With Misinformation About Pediatricians », Forbes,‎ (lire en ligne Accès libre)
  • (en) Lauren Weber, Caitlin Gilbert et Taylor Lorenz, « Documents show how conservative doctors influenced abortion, trans rights », Washington Post,‎ (lire en ligne Accès libre)
  • aetb (en-US) « Gender Dysphoria in Children », American College of Pediatricians,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • Robert Barnes, « The right finds a fresh voice on same-sex marriage », sur www.washingtonpost.com,  : « Anderson, a 33-year-old scholar at the Heritage Foundation, has emerged as a leading voice for those who resent being labeled hopelessly old-fashioned — or, worse, bigoted — for believing that marriage should be only between a man and a woman. »
  • (en) Ryan T. Anderson, When Harry Became Sally : Responding to the Transgender Moment, Encounter Books, , 251 p. (ISBN 978-1-59403-962-1, présentation en ligne)
  • Voir aussi[modifier | modifier le code]

    Articles connexes[modifier | modifier le code]


    Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Assignation_sexuelle&oldid=216217170 ».

    Catégories: 
    Genre (sciences sociales)
    Intersexuation et médecine
    Transidentité
    Catégories cachées: 
    Rédaction à améliorer
    Article à vérifier/sexologie
    Article manquant de références depuis janvier 2023
    Article manquant de références/Liste complète
    Article à référence nécessaire
    Article contenant un appel à traduction en anglais
    Article manquant de références depuis janvier 2019
    Article soupçonné de non pertinence
    Section non neutre
    Portail:LGBT/Articles liés
    Portail:Droit/Articles liés
    Portail:Société/Articles liés
    Portail:Transidentité/Articles liés
    Portail:Genre/Articles liés
     



    La dernière modification de cette page a été faite le 24 juin 2024 à 13:03.

    Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; dautres conditions peuvent sappliquer. Voyez les conditions dutilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence.
    Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.



    Politique de confidentialité

    À propos de Wikipédia

    Avertissements

    Contact

    Code de conduite

    Développeurs

    Statistiques

    Déclaration sur les témoins (cookies)

    Version mobile



    Wikimedia Foundation
    Powered by MediaWiki