Contrairement aux espèces du genre Chrysopa où les adultes et les larves sont des prédateurs, seules les larves des espèces du genre Chrysoperla s'attaquent à de petits invertébrés, les adultes se nourrissant de liquides sucrés, de miellat, de pollen.
Chrysoperla a des adultes avec une bande pâle jaunâtre au milieu du corps.
Les espèces peuvent avoir une morphologie proche mais peuvent êtres facilement différenciées avec les signaux vibratoires utilisés pour attirer les partenaires[1]. Par exemple, l'espèce du sud de l'Europe, C. mediterranea semble similaire à son cousin du nord, C. carnea, mais leurs chants nuptiaux sont très différents[2].
↑S.J. Brooks et P.C. Barnard, « The green lacewings of the world: a generic review (Neuroptera: Chrysopidae) », Bulletin of the British Museum (Natural History) Entomology, vol. 59, no 2, , p. 117–286 (lire en ligne, consulté le )
↑Charles S. Henry, Stephen J. Brooks, James B. Johnson et Peter Duelli, « Revised concept of Chrysoperla mediterranea (Hölzel), a green lacewing associated with conifers: courtship songs across 2800 kilometres of Europe (Neuroptera: Chrysopidae) », Systematic Entomology, vol. 24, no 4, , p. 335–350 (DOI10.1046/j.1365-3113.1999.00085.x, S2CID84665891, lire en ligne)
Andras Bozsik, Jacques Mignon et Charles Gaspar, « Le complexe Chrysoperla carnea en Belgique (Neuroptera : Chrysopidae) », Notes Fauniques de Gembloux, vol. 50, , p. 9-14 (ISSN0770-2019, lire en ligne, consulté le ).