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1 Étiologie  





2 Diagnostic  



2.1  Clinique  



2.1.1  Cystite compliquée  





2.1.2  Cystite récidivante  







2.2  Examens complémentaires  







3 Traitement  



3.1  Classique  





3.2  Phagothérapie  





3.3  Non médicamenteux  







4 Prévention  



4.1  Cystite d'origine bactérienne  





4.2  Cystite d'origine allergique  







5 Notes et références  





6 Voir aussi  














Cystite






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Cystite

Description de l'image Diverse e Coli.png.
Symptômes InflammationVoir et modifier les données sur Wikidata

Traitement
Médicament Méthénamine, DL-ofloxacine, carboprost (en), gatifloxacine, amphotéricine B, norfloxacine, ciprofloxacine, moxifloxacine, nitrofurantoin, fosfomycine, sulfamethoxazole / trimethoprim (d), lévofloxacine hémihydratée (d), enoxacine, cefpodoxime, tosufloxacin (en), Marbofloxacin (en) et orbifloxacin (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Spécialité UrologieVoir et modifier les données sur Wikidata
Classification et ressources externes
CISP-2 U71Voir et modifier les données sur Wikidata
CIM-10 N30
CIM-9 595
DiseasesDB 29445
MeSH D003556

Wikipédia ne donne pas de conseils médicaux Mise en garde médicale

Une cystite est une inflammation de la vessie. Infection urinaire la plus courante, elle est le plus souvent d'origine bactérienne (colibacilles, naturellement présents dans l'intestin), mais peut aussi être due à un agent toxique : traitement anti-cancéreux ou radiothérapie. C'est une infection fréquente chez la femme, car elle possède un urètre court et une faible distance ano-génitale, ce qui augmente le risque d'infection urinaire. Cette infection peut également toucher les hommes, ils peuvent la transmettre sans le savoir. Il est à noter que les sécrétions de la prostate des hommes contiennent des substances qui ralentissent la multiplication des bactéries dans l’urètre[1]). Il convient de ce fait de toujours s'essuyer d'avant en arrière. Il convient également d'effectuer un test en laboratoire pour les hommes afin de cesser la transmission.

S'il y a risque de complications (femme enceinte, diabète, geste chirurgical), cette infection doit être traitée rapidement pour éviter qu'elle ne se propage vers les circuits rénaux (pyélonéphrite) puis par voie sanguine avec urosepsis mettant la vie en danger[2].

Étiologie[modifier | modifier le code]

Diagnostic[modifier | modifier le code]

Clinique[modifier | modifier le code]

Les symptômes sont différents selon la cause de la cystite, le patient (ou la patiente) peut se plaindre de :

Il n'y a pas de fièvre dans la cystite.

Chez les plus de 65 ans, la cystite serait assez fréquemment associée au delirium[5] ;

Cystite compliquée[modifier | modifier le code]

On parle de cystite compliquée si au moins un des facteurs de risque suivants est retrouvé : insuffisance rénale, immuno-dépression, grossesse, sexe masculin, sujet âgé, anomalies organiques ou fonctionnelles de l'arbre urinaire (malformation, acte urologique récent, tumeur, lithiase, résidu post-mictionnel)

Cystite récidivante[modifier | modifier le code]

Elle est définie par 4 épisodes sur une période de 12 mois consécutifs : Il s'agit d'infections survenant en dehors de toute uropathie ou anomalies gynécologiques et l'on retrouve fréquemment : boissons insuffisantes, constipation, mictions rares.

Examens complémentaires[modifier | modifier le code]

Le diagnostic est clinique et peut être confirmé par une bandelette urinaire et/ou un examen cytobactériologique des urines détectant :

Traitement[modifier | modifier le code]

Il est important de soigner rapidement une cystite, car l'infection peut se compliquer et atteindre le rein et causer une pyélonéphrite. Une pause de l'activité sexuelle est préconisée afin de faciliter au mieux la guérison.

En mai 2014, la Société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF) publie le bon usage des antibiotiques dans le traitement des cystites[6].

Dans le cas d'une cystite aiguë simple, le traitement de première intention est la Fosfomycine-Trométamol en dose unique[7]. En cas de suspicion d'un Staphylococcus saprophyticus (femme de moins de 30 ans avec absence de nitrites à la bandelette urinaire) il est conseillé de privilégier soit la nitrofurantoine, soit une fluoroquinolone[8].

Le premier remède à suivre est une hydratation suffisante, facilitant l'élimination des germes de la vessie.

Classique[modifier | modifier le code]

Le traitement de la cystite aiguë non récidivante est simple. Il repose sur un traitement antibiotique (qui peut être pris en une seule dose, en une seule fois : « traitement minute »). Le traitement antibiotique peut être plus long (trois à cinq jours). Il est impératif de boire au moins deux litres d'eau par jour, pour éliminer au maximum.

Des personnes peuvent avoir du mal à supporter certains antibiotiques et risquent d'avoir des réactions allergiques ou digestives. Les antiseptiques urinaires sont prescrits en traitement de fond.

Aux États-Unis, dans la plupart des pays anglo-saxons, et au Danemark, l'Hippurate de Méthénamine est couramment prescrite à une dose de 2 ou 3g par jour[9]. Ce médicament, Hiprex, fabriqué par Sanofi, indisponible en France, a une efficacité incertaine[10].

Lorsque les cystites apparaissent chez une femme n'ayant jamais accouché par voie naturelle, et qu'elles apparaissent après des rapports sexuels, il est possible que les cystites soient liées à la présence de brides hyménéales[11]. En effet, des restes d'hymen peuvent persister dans le vagin et favoriser l'ouverture de l'urètre lors des rapports sexuels, favorisant ainsi la remontée de germes vers la vessie. Le traitement consiste alors en une intervention bénigne : la section des brides hyménéales sous anesthésie locale le plus souvent[12]. Il faut absolument respecter les règles d'hygiène.

Les anti-inflammatoire non stéroïdiens multiplient par 6,5 la survenue d'une pyélonéphrite[13].

L'utilisation de Canephron (extrait de trois plantes drainantes) associé à la fosfomycine permettrait de réduire de trois à un jour la durée des symptômes[14][source secondaire souhaitée].

Phagothérapie[modifier | modifier le code]

En Géorgie, en Russie et dans certains pays de l'est, la phagothérapie est utilisée couramment contre les cystites bactériennes. Deux approches sont possibles: soit on administre un cocktail de phages standard disponible en pharmacie et spécifique à la pathologie ou au type de bactérie pathogène, soit on sélectionne et on cultive des phages lytiques pour la bactérie particulière[15].

Non médicamenteux[modifier | modifier le code]

Des traitements à type de phytothérapie peuvent être adaptés pour le traitement de certaines personnes, en complément d'un traitement « classique », sans preuve d'efficacité cependant.

Le plus étudié est la canneberge. L'actualisation des revues systématiques des publications scientifiques par la Collaboration Cochrane ne permet pas de recommander le jus de canneberge pour le traitement des infections urinaires[16], ni le D-mannose[17].

Dans une étude rétrospective d'une grande base de données allemande, il n'y avait pas de différences d'efficacité entre la prescription de Canephron et celles d'antibiotiques, et ces derniers étaient même prescrit 40% de moins dans l'année suivant la délivrance des extraits de plantes diurétiques Canephron®[18].

Lalactoférine bovine pourrait avoir des effets importants[19].

L'efficacité de la médecine traditionnelle chinoise est incertaine[20].

Prévention[modifier | modifier le code]

Cystite d'origine bactérienne[modifier | modifier le code]

Cystite d'origine allergique[modifier | modifier le code]

Prévention pour la cystite allergique :

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. À un âge plus avancé, les hommes sont souvent touchés, souvent en conjonction avec une hypertrophie bénigne de la prostate.
  • L. Amrouche, T. Ghoneim, Néphrologie - Urologie, Pradel, , p. 87.
  • L'infection microbienne est en règle générale monomicrobienne et implique Escherichia coli dans 60 à 75 % des cas. D'autres microbes peuvent être en cause, des Gram négatif (Klebsiella, Enterobacter, Serratia, Citrobacter, Proteus) ou Gram positif (Enterococcus faecalis, Staphylococcus saprophyticus). Cf. Bernard Lobel, Claude Soussy, Les infections urinaires, Springer Science & Business Media, , p. 114.
  • Revue Prescrire, Le Guide 2008, décembre 2007, no 290 (supplément)
  • (en) Damir Krinitski, Rafal Kasina, Stefan Klöppel et Eric Lenouvel, « Associations of delirium with urinary tract infections and asymptomatic bacteriuria in adults aged 65 and older: A systematic review and meta‐analysis », Journal of the American Geriatrics Society, vol. 69, no 11,‎ , p. 3312–3323 (ISSN 0002-8614et1532-5415, PMID 34448496, PMCID PMC9292354, DOI 10.1111/jgs.17418, lire en ligne, consulté le )
  • SPILF, « Infections urinaires communautaires », sur infectiologie.com, (consulté le ).
  • « Diagnostic et antibiothérapie des infections urinaires bactériennes communautaires de l’adulte », sur infectiologie.com, (consulté en ).
  • « Infections à Staphylococcus saprophyticus Infections caused by Staphylococcus saprophyticus », sur em-consulte.com, (consulté en ).
  • (en) « DailyMed - HIPREX- methenamine hippurate tablet », sur DailyMed - base de données des médicaments approuvés par la FDA (consulté le ).
  • aetb Mina Bakhit, Natalia Krzyzaniak, Joanne Hilder et Justin Clark, « Use of methenamine hippurate to prevent urinary tract infections in community adult women: a systematic review and meta-analysis », The British Journal of General Practice: The Journal of the Royal College of General Practitioners, vol. 71, no 708,‎ , e528–e537 (ISSN 1478-5242, PMID 34001538, PMCID 8136580, DOI 10.3399/BJGP.2020.0833, lire en ligne, consulté le )
  • « Les cystites post coïtales », sur REVUE GENESIS (consulté le ).
  • C. Descazeaud, G. Cuvelier, A. Descazeaud, B. Gestin, A. Rivet et N. Saïdani, « Intérêt de la Résection de Brides Hyménéales dans le Traitement des Cystites Post-coïtales Récidivantes », Médecine et Maladies Infectieuses Formation,‎ , p. 598-599 (lire en ligne Accès payant)
  • Albert Macaire C. Ong Lopez, Charles Jeffrey L. Tan, Antonio S. Yabon et Armin N. Masbang, « Symptomatic treatment (using NSAIDS) versus antibiotics in uncomplicated lower urinary tract infection: a meta-analysis and systematic review of randomized controlled trials », BMC Infectious Diseases, vol. 21,‎ , p. 619 (ISSN 1471-2334, PMID 34187385, PMCID 8243445, DOI 10.1186/s12879-021-06323-0, lire en ligne, consulté le )
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  • Tommaso Cai, Umberto Anceschi, Irene Tamanini et Serena Migno, « Xyloglucan, Hibiscus and Propolis in the Management of Uncomplicated Lower Urinary Tract Infections: A Systematic Review and Meta-Analysis », Antibiotics, vol. 11, no 1,‎ , p. 14(ISSN 2079-6382, PMID 35052890, PMCID 8773311, DOI 10.3390/antibiotics11010014, lire en ligne, consulté le )
  • (en) Jorge Milhem Haddad, Enrique Ubertazzi, Oscar Storme Cabrera et Martha Medina, « Latin American consensus on uncomplicated recurrent urinary tract infection—2018 », International Urogynecology Journal, vol. 31, no 1,‎ , p. 35–44 (ISSN 0937-3462et1433-3023, DOI 10.1007/s00192-019-04079-5, lire en ligne, consulté le )
  • Voir aussi[modifier | modifier le code]


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