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1 Biographie  



1.1  Famille  





1.2  Formation  





1.3  Carrière artistique  



1.3.1  Début de carrière lyonnaise et parisienne  





1.3.2  Séjour prolongé à Rome  





1.3.3  Retour en France  









2 Œuvre  



2.1  Tableaux  





2.2  Œuvres datées  





2.3  Dates non documentées  





2.4  Gravure  





2.5  Dessins  







3 Élèves  





4 Notes et références  



4.1  Notes  





4.2  Références  







5 Annexes  



5.1  Bibliographie  





5.2  Liens externes  
















François Perrier (artiste)






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Pour les articles homonymes, voir François PerrieretPerrier.

François Perrier

Naissance

Vers 1594
Pontarlier

Décès


Paris

Pseudonyme

BourguignonVoir et modifier les données sur Wikidata

Activité

Peintre, graveur

Maître

Horace Le Blanc, Giovanni Lanfranco, Simon Vouet

Élève

Charles Le Brun, Charles-Alphonse Du Fresnoy

Fratrie

Guillaume PerrierVoir et modifier les données sur Wikidata


François Perrier né à Pontarlier vers 1594 et mort à Parisle est un peintreetgraveur franc-comtois.

Actif en Italie, à Lyon et à Paris, il est un des cofondateurs de l'Académie royale de peinture et de sculpture.

Biographie[modifier | modifier le code]

Famille[modifier | modifier le code]

François Perrier est né, selon son contrat de mariage, à Pontarlier[n 1], en Franche-Comté, alors en terre d'Empire sous la souveraineté de la couronne d'Espagne, vers 1594 : l’acte de décès du indique en effet qu’il est « âgé de cinquante-cinq ans » à sa mort[1],[n 2]. Il a un frère, Guillaume Perrier, également peintre[2].

Il se marie en 1648, a un fils.

Il meurt subitement en [3],[n 3].

Formation[modifier | modifier le code]

François Perrier apprend le dessin auprès de son père peintre et non comme il a été cru, orfèvre, et part vers 1620 à Lyon, où il se forme dans l'atelier d'Horace Le Blanc[3],[4].

Fin 1623, il part pour Rome, où il entre dans l'atelier du peintre Giovanni Lanfranco. Il commence à travailler à fresque pour le dôme de l'église Sant'Andrea della Valle, mais il est très difficile de savoir ce qui lui revient dans les œuvres de Lanfranco de cette époque. Il est possible qu'il ait alors vécu dans la maison de Simon Vouet, où se trouvaient également Charles MellinetClaude Mellan[3]. Il est reçu à l'Accademia di San Luca dont Vouet était le directeur (principe) de 1624 à 1627. Il rentre à Paris en 1630, après un séjour à Lyon en 1628-1629 où il revoit Horace Le Blanc et le sculpteur Jacques Sarrazin qu'il avait rencontré à Rome, et devient le principal assistant de Simon Vouet qui l'y avait précédé en 1627. Il retourne à Rome de 1634 ou 1635 à 1645 où il s'adonne aussi au commerce d'objets d'art. Il retourne à Paris avec un nouveau passage à Lyon, et reçoit un brevet de « peintre du roi ».

Carrière artistique[modifier | modifier le code]

Début de carrière lyonnaise et parisienne[modifier | modifier le code]

De retour en France, il travaille à Lyon en 1629 sous la direction d'Horace Le BlancetJacques Sarrazin au décor de la Chartreuse, en particulier dans le petit cloître les fresques représentant la vie de saint Bruno[4],[5] (ces fresques ont aujourd'hui disparu). Il reste un tableau de Perrier dans le chœur de l'église : Saint Anthelme ressuscitant un mort[6].

Au début de 1630, il rejoint Paris où il est chef assistant de Simon Vouet. Il travaille avec lui à de nombreux chantiers dont celui du château de Chilly pour Antoine Coëffier de Ruzé, marquis d'Effiat où il peint une Apothéose de saint Antoine pour le plafond de la chapelle[3],[7]. Il forme lui-même des élèves, dont Charles Le BrunetCharles-Alphonse Du Fresnoy[3]. Il pratique l'estampe et essaie d'y introduire la couleur avec Le Temps coupe les ailes de l'Amour (vers 1633-1634).

Séjour prolongé à Rome[modifier | modifier le code]

À la fin de 1634 ou au début de 1635, il retourne à Rome et demeure dix ans en Italie. Il devient peintre indépendant, à la fois à l'huile et a fresco, et travaille pour les familles Spada, d'Este, Peretti. Le cardinal Bernardino Spada lui passe commande en 1642 de La Forge de Vulcain[8] ; il décore en collaboration avec Giovanni Francesco Grimaldi les plafonds de la galerie du palais Peretti-Almagia sur le Corso[9], ainsi que les palais SacchettietGiustiniani[10]. Il peint à Tivoli un cycle de fresques consacré à la vie de saint Dominique dans le couvent de San Biagio[11]. Il est également actif dans le commerce de l'art[3].

Retour en France[modifier | modifier le code]

À la fin de 1645 ou au début de 1646, il est de retour à Paris, où il est un peintre recherché. Il reçoit de nombreuses commandes pour des autels, à Paris (une Crucifixion vers 1645 pour le maître-autel de l’église parisienne Sainte-Geneviève des Ardens, détruite en 1747[12]) et à Lyon, des peintures de cabinet ou de plus vastes décorations. Il réalise ainsi la décoration de la seconde chambre des enquêtes du parlement de Paris, et celle du château du Raincy pour Jacques Bordier[13]. Il peint la voûte de la Galerie dorée de l'hôtel de La Vrillière, l'actuelle Banque de France, où il représente des sujets mythologiques : Le Triomphe d’Apollon ; L’Aurore ; La Nuit ; Junon et Éole ; Neptune et Amphitrite ; Jupiter et Sémélé ; Pluton et Proserpine. L’œuvre originale n’existe plus : lors de la restauration de la galerie de 1865 à 1869, les peintures de Perrier, en mauvais état, sont remplacées par des copies exécutées par les peintres PauletRaymond Balze et les frères Denuelle[1]. Il décore également le cabinet des Muses de l'hôtel Lambert, aux côtés d’Eustache Le Sueur[3].

Il participe, en 1648, à la fondation de l'Académie royale de peinture et de sculpture, dont il est l'un des douze membres[3]. Il est aussi membre de l'Académie de Saint-Luc à Paris, où il professait.

Œuvre[modifier | modifier le code]

Tableaux[modifier | modifier le code]

Les tableaux de Perrier sont appréciés en Europe. Orphée devant Pluton et Proserpine a fait partie des collections du roi de France Louis XIV ainsi que l´Acis et Galatée se dérobant au regard de Polyphème, offert au roi par Le Nôtre[1]. Vénus vient prier Neptune d’être favorable à Enée faisait partie des collections de peintures des princes de Salm confisquées lors de la Révolution française et conservées au musée départemental d'Art ancien et contemporain d'Épinal. Le Triomphe de Neptune ou l'apothéose du Dauphin, tableau d'apparat, se trouvait dans le cabinet de curiosités de Joseph Dorat, seigneur de Noisy-le-Grand et sieur de la Barre[14].

Dans Moïse fait jaillir l'eau du rocheretL'Adoration du veau d'or, conservés à la Pinacothèque capitoline à Rome, l'artiste réélabore la leçon des plus grands maîtres de son temps, notamment Pierre de CortoneetNicolas Poussin, en animant deux toiles monumentales où la complexité de la construction s'accompagne d'une recherche chromatique raffinée[15].

Œuvres datées[modifier | modifier le code]

Dates non documentées[modifier | modifier le code]

Gravure[modifier | modifier le code]

Groupe du Laocoon gravé au début des Segmenta Nobilium Signorum et Statuarum (1638).

En 1638, François Perrier publie un recueil de cent planches à l'eau-forte, Segmenta Nobilium Signorum et Statuarum…, figurant les statues de Rome [28] puis, en 1645, Icones et segmenta… quae Romae adhuc extant…, recueil de 55 planches reproduisant des bas-reliefs romains[29]. Les commentaires de ce deuxième ouvrage sont écrits par Giovanni Bellori. Ces deux recueils de gravures, qui représentent les sculptures antiques que l'on pouvait voir à Rome au début du XVIIe siècle dans les palais et chez les collectionneurs, sont d'une importance fondamentale pour l'histoire de l'art gréco-romain ; ils ont servi de répertoires visuels des modèles classiques pour plusieurs générations d'artistes et d'amateurs européens[30]. Perrier est cité à ce titre en 1662 dans le Het Gulden CabinetdeCornelis de Bie[31]. Ses estampes sont signées « Franciscus Perrier Burg. (ou Burgund.) », c’est-à-dire Burgundus : le Bourguignon[n 4].

Il publie aussi des eaux-fortes d'après les fresques de Raphaël à la villa Farnesina.

Dessins[modifier | modifier le code]

Élèves[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Son lieu de naissance a prêté à discussion : il serait né à Salins (Jura) ou à Saint-Jean-de-Losne (Côte-d'Or) selon André Félibien, ou encore à Mâcon (Saône-et-Loire) selon Georges Guillet de Saint-George. En 1993, Jacques Thuillier publie son contrat de mariage où il est indiqué : « François Périer paintre de Sa Majesté natif du Pontarlier en la Franche Comté ».
  • Les sources d'autorité donnent plutôt la date de 1590, mais l'indication sur l'acte de décès semble l'information à privilégier.
  • Les sources d'autorité donnent plutôt la date de 1650, mais l'indication sur l'acte de décès semble l'information à privilégier.
  • Il utilise également le monogramme FPB : « Franciscus Perrier Burgundus ».
  • Références[modifier | modifier le code]

  • L. Lex et P. Martin, Guillaume Perrier peintre et graveur mâconnais du dix-septième siècle, Plon et Nourrit, (lire en ligne). Plusieurs tableaux de Guillaume Perrier sont conservés au musée des Ursulines de Mâcon.
  • a b c d e f geth Clark 2001.
  • aetb Daniel Ternois, « François Perrier et Lyon », in: Mélanges offerts Georges Canton, Lyon, Presses Universitaires de Lyon, 1981, p. 222-235.
  • Bibliothèque municipale de Lyon, Fonds Coste, Ms 265 : Description des tableaux peints à l'huile ou à fresque par François Perrier, dit le Bourguignon, dans la Chartreuse de Lyon, 8 dans l'église et 13 dans le cloître, 4 ff.
  • « Eglise Saint-Bruno-les-Chartreux » (consulté le ).
  • Vouet : Exposition, Galeries nationales du Grand Palais, Paris, -, Réunion des Musées Nationaux, , p. 45.
  • aetb Schleier 1972, p. 42.
  • (it) Laura Bartoni et Stefano Pierguidi, « Gli affreschi di Giovanni Francesco Grimaldi e François Perrier nel salone di palazzo Peretti a Roma », in: Storia dell'arte, no 99, mai-, p. 94-105.
  • (it) Eric Schleier, « Affreschi di François Perrier a Roma », Paragone, no 217,‎ , p. 42-54.
  • (it) Almamaria Tantillo, « François Perrier a Tivoli », in L'idéal classique : les échanges artistiques entre Rome et Paris au temps de Bellori 1640-1700, Paris, Somogy, 2002, p. 234-251.
  • Frédéric Cousinié, Le saint des saints : Maîtres-autels et retables parisiens du XVIIe siècle, Presses universitaires de Provence, (lire en ligne), p.241-243.
  • « Françoise de la Moureyre, Le goût artistique d'un grand financier au XVIIe siècle : Jacques Bordier », sur www.latribunedelart.com (consulté le ).
  • Edmond Bonnaffé, Dictionnaire des amateurs français du XVIIe siècle, Paris, 1884, p. 79.
  • a betc Commune di Roma, Les musées capitolins, guide, Milan, Mondadori Electa S.p.A., , 221 p. (ISBN 978-88-370-6260-6), p. 175.
  • Poussin, Watteau, Chardin, David… Peintures françaises dans les collections allemandes XVIIe – XVIIIe siècles : Exposition, Grand Palais, Paris, Réunion des Musées Nationaux, , p. 402.
  • Notice no 03110005023, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  • « Analyse du tableau », sur www.cndp.fr (consulté le ).
  • Didier Ryckner, « Un tableau de François Perrier pour Montréal », sur La Tribune de l'art, (consulté le ).
  • Notice no 000PE002162, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  • Notice no 00000075336, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  • Jacques Thuillier, « Un chef-d'œuvre de François Perrier au musée des Beaux-arts de Rennes : Les Adieux de saint Pierre et de saint Paul », Bulletin des amis du musée de Rennes,‎ , p. 52-65.
  • Notice no 01370003516, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  • Notice no 01370003525, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  • Notice no 000PE002163, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  • Notice no 000PE002164, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  • Notice no 04400001284, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  • Robert-Dumesnil, VI, p. 176. Consulter en ligne sur le site de l'Institut national d'histoire de l'art.
  • Robert-Dumesnil, VI, p. 189.
  • Laveissière 2011.
  • (nl) Cornelis de Bie, Het Gulden Cabinet, 1662, p. 143.
  • « Moïse et Aaron faisant tomber la grêle sur l'Égypte, François Perrier », sur Cat'zArts.
  • Emmanuelle Brugerolles, Le Dessin en France au XVIIe siècle dans les collections de l’École des Beaux-Arts, Paris, École nationale supérieure des beaux-arts éditions, 2001, p. 216-221.
  • Annexes[modifier | modifier le code]

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