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Début
 


1 Distinction entre évêque titulaire et siège titulaire  





2 Origine et histoire  



2.1  Exemple historique  





2.2  Restaurations récentes de sièges titulaires  



2.2.1  Pontificat de Jean-Paul II  





2.2.2  Pontificat de Benoit XVI  





2.2.3  Pontificat de François  









3 Listes darchevêchés et dévêchés titulaires  



3.1  Archevêchés et dévêchés titulaires situés en France  



3.1.1  Anciens diocèses des Alpes-de-Haute-Provence  





3.1.2  Anciens diocèses de l'Aude  





3.1.3  Anciens diocèses de Corse  





3.1.4  Anciens diocèses du Vaucluse  





3.1.5  Autres anciens diocèses de France  







3.2  Autres sièges titulaires liés à la France  





3.3  Autres archevêchés et dévêchés titulaires  







4 Notes et références  





5 Voir aussi  



5.1  Liens externes  



5.1.1  Sur GCatholic  





5.1.2  Sur Catholic-Hierarchy  


















Siège titulaire






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Pour les articles homonymes, voir siège.

Unsiège titulaire (épiscopalouarchiépiscopal) est, dans les Églises issues de la Pentarchie (Église catholique romaineetÉglises orthodoxes canoniques), un titre accordé à certains prélats qui, sans avoir de juridiction territoriale sur des diocèses actuels, occupent des fonctions dans le gouvernement de leur Église, pour lesquelles ils sont consacrés évêques. La nomination d’évêques ou archevêques « titulaires » est strictement du ressort du Saint-Siège dans l’Église catholique romaine et des Patriarches (surtout celui de Constantinople) dans les Églises orthodoxes.

Dans l’Église catholique romaine, ceux auxquels ce titre est accordé, autrefois appelés évêques in partibus, pour in partibus infidelium (« en pays des infidèles »), par référence à d’anciens diocèses disparus au cours de l’histoire, sont depuis Léon XIII (1882) dénommés « évêques titulaires »[1]. Tout évêque, même s’il est contraint à la démission, reste « évêque d'un lieu particulier » ; il lui est alors donné le titre d'un siège titulaire.

Malgré le nombre important d'évêques titulaires (qui tous ne sont pas titulaires d'un siège titulaire) dans l'Église catholique latine, la pertinence théologique de ces évêques sans charge pastorale personnelle réelle suscite des débats[2]. La question est de savoir si la collation d’une Église sans existence réelle constitue ou non un cas d’« ordination absolue » (c’est-à-dire sans détermination pastorale) condamnée par le premier concile de Nicée (325).

Dans les Églises orthodoxes, particulièrement celle de Grèce, les sièges titulaires correspondent aux anciens évêchésouarchevêchés de l’Empire byzantin restés sans fidèles en raison du passage des habitants de ces territoires à l’islam et de l’expulsion des chrétiens au fil des siècles (notamment au moment du traité de Lausannede1923).

Évêchés d’Anatolie au XIXe siècle, devenus pour la plupart des sièges titulairesauXXe siècle

Distinction entre évêque titulaire et siège titulaire[modifier | modifier le code]

Dans l'Église latine, les évêques titulaires sont tous les évêques qui n'ont pas la charge pastorale d'un diocèse ou d'une circonscription ecclésiastique assimilée ou équivalente à un diocèse, c'est-à-dire la prélature territoriale, l'abbaye territoriale, le vicariat apostolique, la préfecture apostolique et l'administration apostolique établie à titre permanent[3],[4].

Dans les Églises catholiques orientales, seuls les évêques chargés de la pastorale d'une éparchie sont des évêques diocésains stricto sensu ; tous les autres, quel que soit le ministère qu'ils exercent ou ont exercé, sont évêques titulaires[5].

Selon cette norme canonique, les évêques titulaires sont[6]:

Origine et histoire[modifier | modifier le code]

Leconcile de Nicée a peut-être connu en son sein quelques évêques chassés de leur diocèse. Cependant, il établit que les clercs doivent toujours être attachés à une Église (canon 15). Plus explicite, le concile de Chalcédoine (451) pose l’interdiction d’ordonner un clerc, y compris un évêque, sans lui confier un lieu à desservir (canon 6). Dans l’esprit de ces conciles anciens, il s’agit d’une communauté réelle de chrétiens et non d’un titre reposant sur une fiction juridique.

Plus tard, surtout aux VIIe et VIIIe siècles, un grand nombre de diocèses, particulièrement en Afrique du Nord, en Espagne et au Proche-Orient, perdent leurs fidèles en raison des persécutions, après les invasions sarrasinesetottomanes : certains (les ma'mīnīm ) se convertissent à l’islam pour éviter le kharadj (double capitation sur les non-musulmans) et le devshir (enlèvement des garçons pour être enrôlés dans les armées musulmanes) ; d’autres s’enfuient pour échapper aux persécutions et à l’esclavage : ces diocèses disparaissent donc et sont abandonnés. Par exemple, on évalue à environ 480 le nombre de diocèses disparus en Afrique du Nord[14] et il en est de même en Asie mineure[15]. Ils ne sont pas supprimés cependant, l’Église souhaitant garder la mémoire de ces communautés chrétiennes des premiers siècles du christianisme.

D’autres disparaissent avec la conquête de la Terre sainte par les ArabesauVIIIe siècle puis par les Turcs vers 1268. Les évêques chassés sont reçus comme auxiliaires dans des diocèses d’Europe. À leur mort, leurs successeurs comme auxiliaires reçoivent également leur titre et diocèse, connu alors comme étant in partibus infidelium (i.p.i.). Dans l’Église catholique, cette manière de faire est réglementée par le concile de Viennede1311 ; à partir du cinquième concile du Latran (1512-1517) et sous le pontificatdeLéon X, ces titres sont également accordés aux cardinaux de la Curie romaine qui le souhaitent. La coutume s’élargit et se développe au point qu’il est octroyé à tous les prélats consacrés évêques sans qu'ils reçoivent pour autant de juridiction territoriale (auxiliaire, vicaire apostolique, prélat de la Curie romaine).

Des réorganisations ecclésiastiques aux XVIIIe et XIXe siècles, avec la suppression de diocèses, ont également créé de nouveaux sièges titulaires. Ainsi, par exemple, YpresetTongres, en Belgique, Natchez et Kearney aux États-Unis, Lindisfarne en Angleterre et d’autres en Irlande.

AuXIXe siècle, acquiesçant à la demande des Églises catholiques orientales, le pape Léon XIII, par sa lettre apostolique In supremadu change la dénomination de l’évêque in partibus infidelium en « évêque titulaire »[16]. Il y aurait au total près de 2 000 sièges titulaires.

Exemple historique[modifier | modifier le code]

Un exemple intéressant de diocèse in partibus infidelium ayant eu une certaine durée est celui de Bethléem. En 1168, le croisé Guillaume IV, comte de Nevers, avait promis à l'évêque de Bethléem que, si cette ville devait tomber aux mains des musulmans, il l'accueillerait, lui ou ses successeurs, dans la petite ville de Clamecy, sur ses terres de Bourgogne. Après la prise de Bethléem par Saladin en 1187, la volonté du défunt comte fut honorée et l'évêque de Bethléem élut domicile dans l'hôpital de Panthénor, à Clamecy, en 1223. Clamecy demeura le siège permanent de l'évêché in partibus infidelium de Bethléem pendant près de six cents ans, jusqu'à la Révolution française en 1789[17]. Bethléem est toujours diocèse titulaire, même s’il est vacant (en 2013).

Restaurations récentes de sièges titulaires[modifier | modifier le code]

Pontificat de Jean-Paul II[modifier | modifier le code]

En1989 sont restaurés 27 sièges titulaires, tous situés en Afrique du Nord à l'exception ceux de Bistue (it) (Bosnie-Herzégovine) et de Wiener Neustadt (Autriche)[18].

En1995 sont restaurés 12 sièges titulaires aux États-Unis[19]. En 1996 sont restaurés 2 sièges aux États-Unis et 1 au Groenland (Gardar)[20].

En sont restaurés 8 sièges titulaires italiens de la région du Latium : Aquipendium (it), Balneoregium, Gallesium (it), Hortanum (it), Mons Faliscus, Nepeta (it), Sutrium (it), et Tuscania (it)[21].

En, Jean-Paul II restaure en tant que sièges titulaires 4 sièges historiques corses : Aléria, Mariana in Corsica, NebbioetSagone[22].

En2004 sont restaurés 9 sièges titulaires :

Pontificat de Benoit XVI[modifier | modifier le code]

En, Benoît XVI restaure 22 anciens diocèses en tant que sièges titulaires (dont 13 sièges français)[26] :

Un diocèse est restauré en enCroatie : Cibalae (it)[27].

Pontificat de François[modifier | modifier le code]

En, le pape François restaure les 2 sièges polonais de PomezaniaetWigry (pl)[28].

En sont restaurés 8 sièges titulaires[29] :

En sont restaurés les sièges italiens d'Amantea (it) et de Limosano (it), et en est restauré le siège d'Alesa (it) (Sicile)[21].

Le, les anciens sièges relevés dans le nom du diocèse italien de Macerata sont restaurés en tant que sièges titulaires : Cingoli (it), Recanati (it), Tolentino (it)etTreia (it)[31].

Listes d’archevêchés et d’évêchés titulaires[modifier | modifier le code]

Ces listes non exhaustives concernent les évêchés titulaires reconnus par l’Église catholique romaine et figurant dans l’Annuario pontificioduSaint-Siège (2010) qui donne une liste de près de 2 000 sièges titulaires. Pour la plupart, ce sont les mêmes qui sont reconnus par les Églises orthodoxes. Les plus prestigieux, comme ceux d’Antioche (supprimé en 1964[32]), d’Égypte, d’Éphèse, de Nicée ou de Palestine, ont parfois eu plusieurs évêques titulaires dans différentes Églises (Église catholique et une ou plusieurs Églises orthodoxes).

Archevêchés et d’évêchés titulaires situés en France[modifier | modifier le code]

Le nom des sièges de nombreux anciens diocèses français est inclus dans le nom des diocèses d'aujourd'hui, par exemple le diocèse de Riez dont le nom est compris dans le diocèse de Digne, Riez et Sisteron. Toutefois, 18 sièges autres anciens sièges diocésains situés en France, listés ci-dessous, ont été restaurés en tant que sièges titulaires.

Il existe par ailleurs de nombreux autres anciens sièges épiscopaux qui ne font partie d'aucune de ces deux catégories, comme les sièges de Grasse, Antibes, Elusa (Eauze), Cemenelum (Cimiez), Limoux, Bourg-en-Bresse, Eturamina (Thorame), Salinae (Castellane), Alba Helviorum (Alba-la-Romaine), Vernay, Tanata, Bastia, Calvi, Cervione, Vico (Corse-du-Sud), Sospel, Anderitum (Javols), Vermand, Aleth (Saint-Servan), Ratiatium (Rezé), Maguelone (Hérault), Substantion,... etc.

Anciens diocèses des Alpes-de-Haute-Provence[modifier | modifier le code]

Sièges titulaires actuellement situés sur le territoire du diocèse de Digne, Riez et Sisteron, et restaurés en .

Anciens diocèses de l'Aude[modifier | modifier le code]

Sièges titulaires actuellement situés sur le territoire du diocèse de Carcassonne et Narbonne, et restaurés en .

Anciens diocèses de Corse[modifier | modifier le code]

Sièges titulaires actuellement situés sur le territoire du diocèse d'Ajaccio, et restaurés en (à l'exclusion d'Accia restauré avant 1969).

Anciens diocèses du Vaucluse[modifier | modifier le code]

Sièges titulaires actuellement situés sur le territoire de l'archidiocèse d'Avignon, relevés par les archevêques d'Avignon entre 1877et2009, et restaurés en .

Autres anciens diocèses de France[modifier | modifier le code]

Autres sièges titulaires situés en France, restaurés en .

Autres sièges titulaires liés à la France[modifier | modifier le code]

Liste non exhaustive de sièges titulaires non situés sur le territoire français, mais liés avec la France.

Autres archevêchés et d’évêchés titulaires[modifier | modifier le code]

  • Abari
  • Abbir Germaniciana
  • Abbir Maius
  • Abdera, Carthaginoise proconsulaire, en Afrique occidentale
  • Abercornia, du nom d'Abercorn, village écossais dans les environs d'Édimbourg
  • Abernethia, village écossais
  • Abidda
  • Abila en Palestine
  • Abila Lysaniae
  • Abitinae, Carthaginoise proconsulaire, en Afrique occidentale
  • Abora, Carthaginoise proconsulaire, en Afrique occidentale
  • Abritus, évêché de la seconde Mésie dans l'exarchat de Dacie
  • Absa Salla, Carthaginoise proconsulaire, en Afrique occidentale
  • Absorus, Apsoris ou Ausara, île de Dalmatie. Son évêque vers 880 s'appelait Domenicus.
  • Abthugni, dont Felix d'Abthugni était évêque
  • Abula
  • Abydos ou Avido, proche des Dardanelles dans l'Hellespont, exarchat d'Asie
  • Abziri
  • Acalissus
  • Acarassus
  • Acci
  • Acelum
  • Achelous
  • Acholla
  • Achrida (de)
  • Achyraus
  • Acilisène
  • Acmonia
  • Acra
  • Acrassus (de)
  • Acropolis (de)
  • Acufida
  • Adada (diocèse)
  • Adana
  • Adana degli Armeni
  • Adana dei Greco-Melkiti
  • Adraa
  • Adran
  • Adramytte (de)
  • Adrasus (de) ou Adra. Ville ruinée de la Seconde Arabique[33], patriarcat de Jérusalem (Antioche ?)[34]
  • Adulis
  • Aeca
  • Aeclanum (de)
  • Aegae (de)
  • Aegaee
  • Aegina
  • Aela
  • Aemona
  • Aenus (actuelle Enez)
  • Agathopolis ou Gatopoli[35], petite ville de Thrace sur la mer Noire
  • Albulae
  • Alinda
  • Altava
  • Altiburus ou Altibura, Carthaginoise proconsulaire, en Afrique occidentale
  • Antiphrae, Libye marmarique, patriarcat d'Alexandrie
  • Amida des Arméniens
  • Amphipolis
  • Amorium
  • Amyclées (de)
  • Ancusa (de)
  • Andrinople (archidiocèse)
  • Anthédon
  • Antinoë
  • Antioche, patriarcat (liste)
  • Antiphellus
  • Apollonie (siège (it))
  • Apollonis
  • Aquae Novae in Proconsulari
  • Aquae Thibilitanae
  • Arba
  • Arathia
  • Arcadiopolis
  • Areopolis (de)
  • Aréthuse
  • Arsamosata
  • Ascalon
  • Athènes (archidiocèse latin)
  • Augurus
  • Augusta
  • Augustopolis-de-Palestine (it)
  • Augustopolis-en-Phrygie
  • Auria
  • Avara
  • Avioccala
  • Baalbek
  • Babylone
  • Bagis
  • Barca
  • Basilinopolis
  • Belcastro en Italie, région de Calabre[36]
  • Bénévent
  • Bérythe (de)
  • Bida (siège titulaire) (it))
  • Bisuldino
  • Caesariana
  • Camaco
  • Cambysopolis (de)
  • Camuliana
  • Canatha
  • Canope (de)
  • Capsa
  • Carthage (archidiocèse)
  • Castorie (de)
  • Cataquas
  • Catabum castra
  • Celerina (de)
  • Césarée en Palestine (archidiocèse)
  • Césarée de Philippe
  • Césaropolis (de)
  • Chalcédoine
  • Chunavia
  • Chytri
  • Claudiopolis
  • Claudiopolis de Cilicie
  • Constantinople (patriarcat latin)
  • Chonochora en Syrie, aujourd'hui Qara
  • Cnide
  • Corinthe (diocèse latin)
  • Cova, Carthaginoise proconsulaire, en Afrique occidentale
  • Cresima
  • Cursola
  • Curubis
  • Héraclée Cybistre
  • Cydonie
  • Cyrène
  • Damas
  • Dausara
  • Derbé
  • Diana, Carthaginoise proconsulaire, en Afrique occidentale
  • Diocletiana
  • Doberus (de)
  • Dora, Liban
  • Dorylée
  • Drusipara
  • Égée (siège (it))
  • Eguga (de), Carthaginoise proconsulaire, en Afrique occidentale[37]
  • Elatea
  • Elephantaria in Mauretania
  • Eleuthéropolis
  • Elusa
  • Éphèse
  • Eschinas
  • Euménie
  • Frigento (it)
  • Fussala
  • Garba
  • Gauriana
  • Gemellae in Numidia
  • Germanicopolis
  • Gordus (de)
  • Gratianopolis en Maurétanie césarienne
  • Gunela (de)
  • Hadrumetum[38]
  • Halmiros
  • Halicarnasse
  • Hébron
  • Héliopolis en Syrie (archidiocèse (it))
  • HéliopolisenAugustamnique (siège (it))
  • Hephaestus
  • Hemeria
  • Hemesa
  • Héraclée (it)
  • Hermopolis Parva
  • Hiéron (it)
  • Ioannina
  • Irenopolis
  • Isaura
  • Isinda
  • Joppé
  • Juliopolis (de)
  • Kearney (siège (it))
  • Labicum
  • Lacédémone
  • Lamdia (de)
  • Lamia
  • Lampsaque
  • Lamsorti
  • Lamzella
  • Laodicée en Phrygie (archidiocèse)
  • Laodicée de Syrie (archidiocèse)
  • Lebessus
  • Léontopolis, dans le delta du Nil, aujourd'hui Tell el-Yahoudieh
  • Léontopolis in Augustamnica, dans le delta du Nil, aujourd'hui Taremou
  • Limata (de)
  • Limyre
  • Lindisfarne
  • Lystre
  • Macriana in Mauretania
  • Macriana Minor
  • Malliana, Carthaginoise proconsulaire
  • Marciana (it)
  • Marcopolis, évêché d'Osroène, patriarcat d'Antioche
  • Marida
  • Marónia
  • Martyropolis
  • Maturba, Mauritanie Césarienne
  • Maximianopolis, ville du Rhodope, exarchat de Thrace
  • Maxula Prates, près de Tunis
  • Médéa[39]
  • Medeli
  • Mégare
  • Mélitène
  • Memphis (siège (it))
  • Mesarfelta
  • Metelis
  • Métellopolis (de)
  • Mosynople (de)
  • Myre (archidiocèse (it))
  • Mons in Numidia
  • Mosynopolis
  • Myriophytos
  • Mytilène (archidiocèse)
  • Naraggara
  • Nachingwea en Tanzanie (en)
  • Nazareth (archidiocèse)
  • Nazianze (archidiocèse)
  • Néocésarée (diocèse)
  • Nicée (archidiocèse)
  • Nicives
  • Nisibis
  • Nitrie
  • Obbi
  • Oescus (de)
  • Olena (Olenus)
  • Ollone
  • Oponte
  • Oregon City (archidiocèse (it))
  • Orthozia
  • Othona
  • Ottocium
  • Palmyre (de)
  • Parion
  • Parténia
  • Patras (archidiocèse)
  • Petra en Palestine
  • Pharbaetus
  • Philadelphie en Arabie
  • Philadelphie en Lydie
  • Philippopolis d'Arabie
  • Plestia (de)
  • PoglaenPisidie.
  • Polymartium
  • Pomaria
  • Pomésanie
  • Pompeiopolis
  • Privata
  • Prusias ad Hypium
  • Ptolémaïs en Thébaïde (siège archiépiscolal (it)), Ptolémaïs en Libye (siège (it)), Ptolémaïs en Phénicie, ou Acre (siège (en)), Ptolémaïs en Phénicie (siège maronite (it))
  • Pulcheriopolis
  • Regiae, Maurétanie Césarienne
  • Reperi (Reperitanus), Maurétanie Césarienne
  • Ressiana
  • Retimo
  • Raphana ou Raphanea
  • Rapolla
  • Rhesaina
  • Rhinocolura (siège (it))
  • Rhodes
  • Rucuma (en)
  • Rusadus
  • Rusguniae, aujourd'hui Tamentfoust, en Algérie.
  • Saldae
  • Samos
  • Samosate
  • SasimeenCappadoce
  • Scardona
  • Sébaste (archidiocèse (it))
  • Seleucia Pieria
  • Séleucie (archidiocèse (it))
  • Sergiopolis
  • Sicca Veneria en Tunisie
  • Side
  • Sidon ou Sydon
  • Sidyma
  • Sila
  • Sinope
  • Sozopolis (ouApolloniade pontique : siège (it))
  • Strauropolis
  • Suas
  • Succuba
  • Sululos
  • Summa
  • Summula
  • Sutri
  • SynausenPhrygie
  • Synnada en Phrygie
  • Tacapae
  • Tagase
  • Talaptula, près de Byzacène en Tunisie[40]
  • Tanais
  • Tarse (archidiocèse)
  • Telmessus
  • Tempe
  • Termae Himerae
  • Thagaste
  • Thagora, dont est originaire sainte Crispine de Thagare
  • Tharona
  • Thèbes (archidiocèse)
  • Thélepte
  • Themisonium
  • Thennesus
  • Thénarie (de)
  • Thermopyles
  • Thibaris
  • Thimida Regia
  • Thisiduo (de)
  • Thizica
  • Thibilis
  • Thubursicum Numidarum
  • Thysdrus[41]
  • Tiburnia
  • Tigillava
  • Tingaria
  • Tinum
  • Tipasa de Maurétanie
  • Titiopolis
  • Tlos
  • Tibériade (Archidiocèse)
  • Tilopolis
  • Tisedi
  • Tongres
  • Traianopolis in Rhodope
  • Tralles in Asia
  • Tricomie
  • Tripoli
  • Tripolis in Phoenicia
  • Trisipa
  • Trofimiana
  • Tubulbaka
  • Tours en Maurétanie
  • Urbs Salvia
  • Urci
  • Ursona
  • Urusi, ville natale des saints Cyriaque et Paule d'Urusi
  • Utique (de)
  • Usula (de)
  • Uzalis
  • Vaga (siège (it))
  • Vallis
  • Villa Nova
  • Vinda
  • Vita (it)
  • Volturnum
  • Ypres
  • Zaba, en Algérie
  • Zallata
  • Zattara
  • Zorolus
  • Notes et références[modifier | modifier le code]

    1. Après la séparation des Églises d'Orient et d'Occident, celle de Rome a aussi utilisé la locution pour désigner des sièges diocésains qui n'ont pas disparu, mais qui échappaient à sa juridiction, étant pourvus d’evêques des églises orientales : c’est pourquoi, au XIXe siècle, les Églises catholiques orientales ont obtenu du pape Léon XIII que, par la lettre apostolique In supremadu, la dénomination d’évêque in partibus infidelium soit changée en « évêque titulaire » et les diocèses concernés en « diocèses titulaires ».
  • Hervé Legrand, Le ministère des évêques au concile Vatican II et depuis, Paris, Cerf, , p. 235-237
  • Code de Droit Canonique (CDC), canon 376, et canons 134 §3, 381 §2 et 450 §1
  • Antonio Viana, "Obispos titulares. Elementos de tradición canónica y regulación actual", dans Ius Canonicum 44 (2004), p. 515-537
  • Code des canons des Églises orientales, canon 179
  • Viana, Obispos titulares, p. 534-535
  • CDC, canons 360-361
  • CDC, canons 362-363
  • CDC, canon 443 § 1,3, canonj 450 § 1; décret Christus Dominus no 42, par exemple, comme directeurs d'œuvres missionnaires pontificales, assistants ecclésiastiques de l'Action catholique, recteurs d'universités catholiques ou autres cas particuliers
  • CDC, canon 402 § 1
  • Congrégation pour les évêques, Communication du 7 novembre 1976 dans Communicationes 19, 1978, p. 18
  • CDC canons 403, 406 et 407
  • Congrégation pour les évêques, Communication du 31 août 1970 dans Communicationes 9, 1977, p. 223
  • Duval Noël, « L'évêque et la cathédrale en Afrique du Nord », in Actes du XIe Congrès international d'archéologie chrétienne, Lyon, Vienne, Grenoble, Genève, Aoste, 21-28 septembre 1986, éd. École française de Rome, « Collection de l'École française de Rome », no 123, Rome, 1989, vol. I, p. 345-399.
  • Sophie Métivier et Sylvain Destephen, Chorévêques et évêques en Asie Mineure au IVe et Ve siècles dans « Persée » Volume 15, Numéro 1 de 2007, p. 343-378 sur [1].
  • Il n'y a d'ailleurs pas que dans les régions où le christianisme a disparu ou est devenu minoritaire qu'on trouve des anciens diocèses : cela peut également provenir d'une simple réorganisation de la couverture du territoire : ainsi la Corse, pays catholique, ne compte pas moins de cinq anciens diocèses devenus sièges titulaires.
  • L. de Sivry, Dictionnaire de Géographie ecclésiastique, édition de 1852, p. 375. Archives ecclésiastiques des lettres adressées par les évêques in partibus de Bethléem aux évêques d'Auxerre.
  • « Year 1989, Diocese Events », sur catholic-hierarchy.org (consulté le )
  • « Year 1995, Diocese Events », sur catholic-hierarchy.org (consulté le )
  • « Year 1996, Diocese Events », sur catholic-hierarchy.org (consulté le )
  • aetb « Unknown Day of March, Diocese Events », sur catholic-hierarchy.org (consulté le )
  • « Year 2002, Diocese Events », sur catholic-hierarchy.org (consulté le )
  • « Unknown Day of April, Diocese Events », sur catholic-hierarchy.org (consulté le )
  • « Unknown Day of June, Diocese Events », sur catholic-hierarchy.org (consulté le )
  • « Unknown Day of October, Diocese Events », sur catholic-hierarchy.org (consulté le )
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  • L'oasis ruinée de Sidi Bou Hania.
  • Hadrumetum (Titular See)
  • Siège titulaire de Médéa sur catholic-hierarchy.
  • Titular Episcopal See of Talaptula
  • Titular Episcopal See of Thysdrus, Tunisia
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