Cet article est une ébauche concernant l’histoire, le catholicisme et l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
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Legrand prieuré d’Aquitaine, établi à Angers puis à Poitiers, comprenait la Bretagne, l'Anjou, la Touraine, le Poitou, l'Angoumois et la Saintonge[1]. Il a été créé quelques années après la dévolution des biens de l'ordre du Temple[2] aux Hospitaliers[3]. En , le grand maître Foulques de Villaret ayant été déposé, le pape Jean XXII prend la direction de l'Ordre. À la suite d'une demande de plusieurs dignitaires hospitaliers, il décide le démembrement du Prieuré de France, devenu trop important, et il crée deux autres prieurés, celui d'Aquitaine, et celui de Champagne. La Langue de France comprend alors, jusqu'à la Révolution, trois grands prieurés (Aquitaine, Champagne et France). Le , Jean XXII nomme Pierre de Mailg, prieur d'Aquitaine[4],[5].
Pour des articles plus généraux, voir Commanderie hospitalière, Baillie hospitalièreetPrieuré hospitalier.
Ci-dessous une carte du grand prieuré d'Aquitaine tel qu'il se composait en 1373 (enquête dans les diocèses d'Angers et de Saintes) avec la possibilité d'afficher la carte des possessions provenant de l'ordre du Temple avant la dévolution de ses biens aux Hospitaliers[24]. L'enquête étant incomplète, il manque entre autres l'inventaire détaillé de leurs biens dans les diocèses de Luçonetde Maillezais.
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Pour Pierre et Guillaume de Mailg, voir en particulier les pages 317-318
Liste des grands prieurs de France. Fiabilité de cette liste à vérifier