Pour les articles homonymes, voir Ordination des femmes.
L'ordinationdefemmes, dans l'Église catholique romaine, est exclue par le droit canon qui dispose que « seul un homme baptisé reçoit validement (en) l'ordination sacrée »[1].
Depuis la fin du XXe siècle, la question de l'ordination des femmes a été un sujet de controverse et de revendications qui a suscité des affirmations doctrinales insistantes de la part du Saint-Siège. Parmi celles-ci, on peut citer la lettre apostolique Ordinatio Sacerdotalis et le motu proprio Ad Tuendam Fidemdupape Jean-Paul II sur « les vérités tranchées de manière définitive et devant être tenues par tous » (accompagné par un document de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi pour l'expliciter). On peut aussi citer la lettre officielle De gravioribus delictis () qui prévoit une excommunication aussi bien pour celle qui tente de recevoir cet ordre sacré que pour celui qui tente de conférer un ordre sacré avec, en plus, pour ce dernier, une possible déposition (art. 5), ainsi que la constitution apostolique Pascite gregem Dei () qui rajoute la possibilité d'un renvoi de l'état clérical pour le prélat.
Selon ces documents, la question de l'ordination des femmes ne se pose pas simplement sur le plan de la discipline ou de la pastorale, mais fait intervenir des questions théologiques et doctrinales centrées sur la nature de l'ordination. En d'autres termes, l'invalidité (en) provient selon ces documents de raisons théologiques fondamentales, et non pas seulement du fait que le Code de droit canonique l'a déclaré. En ce sens, l'Église considère que, même si le Code n'en parlait pas, ces ordinations seraient invalides quand même.
Les fondements théologiques de l'exclusion des femmes du ministère religieux catholiques sont exposées dans la déclaration Inter Insigniores de la congrégation pour la doctrine de la foi en 1976[2]. Il y est tout d'abord rappelé que la question du sacerdoce ne saurait être abordée sous l'angle de l'égalité des droits :
« C’est méconnaître complètement la nature du sacerdoce ministériel que de le considérer comme un droit : le baptême ne confère aucun titre personnel au ministère public dans l’Église. Le sacerdoce n’est pas conféré pour l’honneur ou l’avantage de celui qui le reçoit, mais comme un service de Dieu et de l’Église ; il fait l’objet d’une vocation expresse, totalement gratuite : « Ce n’est pas vous qui m'avez choisi ; c’est moi qui vous ai choisis et institués ». »
Selon la doctrine catholique romaine, le prêtre est un sacrificateur qui agit in persona Christi capitis : « tenant le rôle du Christ, au point d’être son image même »[3]. Or, toujours selon la théologie catholique, « l’incarnation du Verbe [(Jésus)] s’est faite selon le sexe masculin : c’est bien une question de fait, (...) indissociable de l’économie du salut »[4].
Selon la théologie catholique, exprimée par le canon de la messe, si la messe est « le sacrifice de toute l'Eglise », l'offrande de tous les fidèles, laïcs comme religieux, hommes comme femmes, sacrifice dans lequel le prêtre n'est que ministre (Catéchisme de l'Église catholique article 1369[5], comme le Christ l'a été de son Père et de l'Humanité qu'il sauve, le prêtre déclare « ceci est mon corps » lorsqu'il élève l'hostie et non « ceci est le corps du Christ », c'est donc le Christ lui-même qui agit par le biais visible du prêtre (Catéchisme de l'Église catholique article 1410 ). « C’est le Christ lui-même, grand prêtre éternel de la nouvelle Alliance, qui, agissant par le ministère des prêtres, offre le sacrifice eucharistique. Et c’est encore le même Christ, réellement présent sous les espèces du pain et du vin, qui est l’offrande du sacrifice eucharistique »[6].
Certains tenants de l'ordination des femmes arguent qu'un prêtre ne représente pas le Christ, agissant en son nom et non à sa place. Ils rappellent que le sacrement du baptême est accessible aux femmes puisqu'il est en fait possible à tout homme ou femme, même non croyant, de baptiser une personne en danger de mort. Ils considèrent que ce sacrement se donne également in persona Christi[7] (mais pas in personna Christi capitis). Cependant, une telle conception de l'action sacerdotale, où les prêtres agissent au nom de et non à la place du Christ s'éloigne de la doctrine catholique traditionnelle sur le sacerdoce et l'Eucharistie.
D'autres partisans de l'ordination des femmes estiment que le fait que le prêtre agisse in persona Christi est lié au sacrement de l'Ordre reçu par le prêtre (et à un degré plus élevé, par l'évêque) et non à son sexe. Ils mettent donc en doute l'invalidité de l'ordination des femmes enseignée dans les divers documents doctrinaux. Une mosaïque romaine du IXe siècle est interprétée par certains auteurs comme témoignant d'un exemple passé d'épiscopat féminin[8] comme il a pu exister un diaconat féminin.
Les Évangiles mentionnent que le Christ a choisi comme apôtres ceux qu’il voulait (Mc 3,13-14 ; Jn 6,70) et il l’a fait en union avec le Père, « par l’Esprit Saint » (Ac 1,2), après avoir passé la nuit en prière (Lc 6,12).) L'Église catholique pense que, puisque Jésus a choisi des hommes comme apôtres, l’Église - le Corps du Christ - fidèle au choix du Seigneur, appelle des hommes à Son service. Ainsi le Catéchisme de l'Église catholique, en 1992, rappelle que : « Le Seigneur Jésus a choisi des hommes pour former le collège des douze apôtres, et les apôtres ont fait de même lorsqu'ils ont choisi les collaborateurs qui leur succéderaient dans leur tâche. Le collège des évêques, avec qui les prêtres sont unis dans le sacerdoce, rend présent et actualise jusqu'au retour du Christ le collège des douze. L'Église se reconnaît liée par ce choix du Seigneur lui-même. C'est pourquoi l'ordination des femmes n'est pas possible »[9].
Dans la lettre apostolique Ordinatio Sacerdotalisdu, le pape Jean-Paul II confirme solennellement cette position : « C'est pourquoi, afin qu'il ne subsiste aucun doute sur une question de grande importance qui concerne la constitution divine elle-même de l'Église, je déclare, en vertu de ma mission de confirmer mes frères (cf. Lc 22,32), que l'Église n'a en aucune manière le pouvoir de conférer l'ordination sacerdotale à des femmes et que cette position doit être définitivement tenue par tous les fidèles de l'Église »[10]. La Congrégation pour la doctrine de la foi a précisé que ce document n'entre pas dans le champ du magistère extraordinaire, mais qu'il relève bel et bien de l'infaillibilité au titre du magistère ordinaire : il fait donc partie du « dépôt de la foi », comme vérité issue des écritures saintes, constamment conservée par la Tradition de l'Église[11].
Certains théologiens ont regretté une telle décision, ainsi le dominicain Claude Geffré estime qu'« on assiste à une extension considérable du pouvoir d'infaillibilité du pape dans la mesure où il peut promulguer un enseignement comme définitif et irrévocable sans consultation préalable de l'épiscopat mondial »[12].
La mise en question la plus radicale des positions de l'Église catholique sur l'ordination des femmes porte sur la conception de la différence des sexes elle-même. L'Église est en effet attachée à l'idée de complémentarité et d'égalité de dignité[13]. L'interchangeabilité des sexes est perçue comme un leurre. Dans cet ordre d'idée, le décret Presbyterorum Ordinis de 1965 rappelle que l'Église catholique s'appuie notamment sur un passage de l'épître aux Romains[14] pour comprendre la différence faite dans l'accès au sacerdoce : « (...) même Seigneur, voulant faire des chrétiens un seul corps, où tous les membres n'ont pas la même fonction (Rom. 12, 4), a établi parmi eux des ministres qui, dans la communauté des chrétiens, seraient investis par l'Ordre du pouvoir sacré d'offrir le Sacrifice et de remettre les péchés »[15].
Pour l'Église, continuer l'œuvre de Dieu est le devoir de chaque être humain ; il doit le faire selon sa vocation (qui est un appel reçu). Celle-ci peut être de transmettre la vie pour certains ; de transmettre les moyens de faire son salut pour quelques autres. Ainsi, la maternité comme l'ordination sont non des droits mais des possibilités auxquelles chacun peut répondre librement s'il y est appelé. Dans Mulieris Dignitatem, Jean-Paul II indique ainsi que la femme participe à la création de la vie à un degré d'intimité particulier : « L'homme, même s'il prend toute sa part dans cette fonction des parents, se trouve toujours « à l'extérieur » du processus de la gestation et de la naissance de l'enfant, et, à bien des égards, il lui faut apprendre de la mère sa propre « paternité » » ; « il faut donc que l'homme ait pleinement conscience de contracter une dette particulière envers la femme, dans leur fonction commune de parents »[16].
Un simple attrait, aussi noble soit-il, ne constitue pas une vocation ; celle-ci doit être reçue et non pas seulement ressentie. Ainsi pour l'Église, l'attrait d'une femme au sacerdoce, tout noble et généreux qu'il soit, ne constitue pas un droit à le recevoir[17] ; de même, beaucoup d'hommes, pensant avoir la vocation sacerdotale, se voient réorientés au séminaire vers une vocation laïque.
Mgr Léonard, l'archevêque de Malines-Bruxelles, résume ainsi : « Si donc l’Église n'ordonne pas des prêtres, ce n'est évidemment pas parce que les femmes auraient moins de générosité, d'intelligence ou de compétence, ce qui serait une contre-vérité manifeste ; c'est simplement parce que la femme ne peut se tenir symboliquement dans le rôle de l'époux et du père ! »[18]. À cette complémentarité des rôles de l'homme et de la femme, il associe également la complémentarité « Christ/Église », « époux/épouse », en s'appuyant sur l'importance du symbolisme dans la psychologie.
Plusieurs théologiens souhaitent un débat sur la question de l'ordination des femmes. Le Père Rigal, dans son livre l’Église à l'épreuve de ce temps (Paris, éd. Cerf, 2007) cite entre autres le Cardinal Daniélou, le Père Yves Congar et le Cardinal Martini qui, en 1996, estimaient que la question devrait être discutée en Concile.
Le titre de diaconesse a existé par le passé au sein de l'Église. Une Phœbé aurait été diaconesse : Paul de Tarse la recommande dans Romains, XVI, 1-3. Ces diaconesses étaient des veuves et des vierges chargées de catéchèse, assistance au baptême des femmes, animation de prières[19].
Le concile de Vatican II a rétabli le diaconat comme un état permanent, les diacres étant spécifiquement chargés « d'administrer solennellement le baptême, de conserver et de distribuer l'eucharistie, d'assister au mariage au nom de l'Église et de le bénir, de porter le viatique aux mourants, de lire aux fidèles la Sainte Écriture, d'instruire et d'exhorter le peuple, de présider le culte et la prière des fidèles, d'administrer les sacramentaux, de présider au rite des funérailles et de la sépulture »[20]. Ce rôle du diacre permanent a une certaine ressemblance avec celui que tiennent les pasteurs protestants dans leur communauté. Cependant, le diaconat est également un des trois degrés du même sacrement (sacrement de l'ordre) que reçoivent les prêtres et les évêques :
La doctrine et la discipline catholique romaine ne conçoit pas d'ordination sacramentelle de femmes à quelque degré que ce soit. Le pape Benoît XVI aurait envisagé d'instaurer le lectorat (qui, dans la tradition, est un ordre mineur, non sacramentel) pour les femmes, ce que certains refusent absolument car ce serait un pas vers le sacrement de l'Ordre.[réf. nécessaire] Le lectorat institué a été ouvert aux femmes en 2021 par le Pape François dans sa lettre apostolique Spiritus Domini.
En 2010, le pape Benoît XVI a supprimé dans le canon 1008, concernant les diacres, la mention de fonctions remplies « en la personne du Christ Tête » (in persona Christi Capitis)[22].[source insuffisante]
En 2018, le pape François envisage d'ordonner des femmes diacres en Amazonie, là où des populations chrétiennes n'ont pas de prêtres[23].
Le catholicisme confie à une femme la responsabilité pastorale d'une communauté religieuse féminine : elle est qualifiée d'abbesse, parfois de prieure. Une abbesse est instituée à ce rôle par la bénédiction abbatiale, analogue à celle que reçoivent les abbés hommes, et qui n'est pas une ordination. Elle a sur sa communauté une autorité ordinaire comparable à celle de l'évêque sur son diocèse, mais n'exerce pas de fonction liée à la prêtrise. Ainsi, les abbesses ne célèbrent pas l'Eucharistie, mais dirigent la prière de la communauté.
Il y a de nombreuses femmes qui ont des responsabilités pastorales dans l'Église. Elles enseignent dans les séminaires, peuvent diriger des facultés de théologie[réf. nécessaire], sont aumônières de lycée ou d'hôpital, sans parler du catéchisme massivement dispensé par des femmes.
C'est en , pendant la période préparatoire du Concile Vatican II (1962-1965), que la jeune juriste suisse Gertrud Heinzelmann fait parvenir à la commission préparatoire une requête circonstanciée qui, pour la première fois, confronte l’Église à la situation faite aux femmes au nom de la Tradition, et au postulat de l’égalité à tous les échelons de la vie ecclésiale. Elle espérait, dans la ligne de Jean XXIII, obtenir un aggiornamento alors que l’Église catholique « n’avait même pas actualisé sa position vis-à-vis de la philosophie des lumières, et encore moins à l’égard du mouvement des femmes avec son contexte socio-culturel et juridique »[24]. Le concile en tient compte dans une certaine mesure, du moins dans le principe, puisque la constitution pastorale Gaudium et Spes, dans son chapitre 29, dit : « Vu que tous les êtres humains ont une âme raisonnable et sont créés à l’image de Dieu, vu qu’ils ont la même nature et la même origine, vu que, sauvés par le Christ, ils ont la même vocation et destination divine, il faut reconnaître l’égalité fondamentale de tous les êtres humains (...). Toute forme de discrimination touchant les droits fondamentaux de la personne dans la vie sociale et culturelle, qu’elle soit fondée sur le sexe ou la race (...) doit être dépassée et éliminée comme contraire au dessein de Dieu ». Toutefois, les oppositions sont nombreuses et les démarches en faveur de l'ordination n'aboutissent pas. Cette déclaration n'inclut, en effet, pas la possibilité pour les femmes de recevoir l'ordination car elle parle des « droits fondamentaux de la personne dans la vie sociale et culturelle », et ne comprend pas l'ordination dans ces droits[25].
En 1977, sous le pontificat de Paul VI paraît la déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi Inter insigniores[26] qui s’oppose à l’admission des femmes au ministère sacerdotal. Malgré les réactions critiques qu'elle suscite émanant non seulement des associations féminines catholiques romaines, mais aussi des cercles de théologiens et voire d'autres autorités romaines (Commission biblique et secrétariat pour l’unité des chrétiens) écartées de la rédaction dudit document, il n'est pas démenti par le Vatican. Sous le pontificat de Jean Paul II, de nouveaux documents encore plus tranchés condamnent l’ordination des femmes, notamment la lettre apostolique Ordinatio Sacerdotalis en 1994 et la déclaration Responsium ad dubium de la Congrégation pour la doctrine de la foi en 1995. Son préfet, le cardinal Joseph Ratzinger, y déclare que la doctrine du ministère sacerdotal réservé aux hommes a un caractère infaillible[24].
En dépit de ces positions de plus en plus négatives qui se font entendre au Vatican, de nombreux colloques pastoraux se tiennent dans les diocèses de différents pays européens: on y prône l’accession des femmes au diaconat et la poursuite des discussions relatives à leur ordination[24].
Le réseau international du mouvement pour l’ordination des femmes poursuit ces démarches ; il s'agit par exemple de :
En 1996, ces organisations se sont structurées au niveau international, Women's Ordination Worldwide (WOW). Elles ont le soutien du mouvement « peuple de l’Église », devenu depuis 1996 le International Movement We Are Church (IMWAC)[24].
Thérèse de Lisieux a fait part de son désir d'être prêtre, y renonçant par humilité à l'exemple de François d'Assise et par la découverte profonde que la vocation baptismale à l'amour est à la source de tous les appels particuliers[27].
Ludmila Javorová est une femme catholique revendiquant avoir été ordonnée en 1970 par un évêque catholique après la mort de ce dernier. Elle aurait été ordonnée clandestinement en Tchécoslovaquie sous le régime communiste par l'évêque de Brno, Felix Maria Davídek. Cette ordination n'est pas reconnue par les instances officielles de l'Église[28].
Le, sept femmes catholiques reçoivent l'ordination sacerdotale sur le fleuve Danube, par un évêque de l'« Église catholique apostolique charismatique de Jésus Roi » (branche de l'Église vieille-catholique, schismatique), Romulo Braschi. Les circonstances de cette ordination, et notamment le choix du consécrateur, expliquent que cet acte ait été diversement reçu au sein des groupes habituellement partisans de l'ordination des femmes[29]. À la suite de leur ordination, ces femmes ont été excommuniées de l'Église catholique[30].
Le, Geneviève Beney a été ordonnée à Lyon, sur le fleuve Rhône par deux de ces femmes[30],[31]. Cette ordination n'est pas reconnue par l'Église catholique et donne lieu à un communiqué du cardinal Barbarin qui déclare « qu'il n'y a aucune vérité dans les mots qui seront prononcés, ni dans les actes qui seront posés en cette circonstance »[32]. Elle a également été excommuniée à la suite de son ordination[33].
Le sur le fleuve Saint-Laurent, deux de ces femmes, revendiquant la qualité d'évêque, membres de l'organisation américaine Women's Ordination Conference (« Conférence pour l'ordination des femmes »), elles-mêmes non reconnues par l'Église catholique, ont accompli le rituel d'ordination à la prêtrise et au diaconat sur deux Canadiennes et sept Américaines :
Ces ordinations ne sont pas valides, souligne Mgr Anthony Meagher (archevêque de Kingston - Ontario, Canada), car « les personnes qui proposent de conférer ces « ordinations » n'ont pas l'autorité de le faire et les personnes voulant être « ordonnées » ne sont pas éligibles ». Le geste de ces femmes entraîne l'excommunication latae sententiae, c'est-à-dire que leur excommunication découle directement de leur consentement à l'ordination et que le Vatican n'a pas besoin de la prononcer pour qu'elle soit effective. Mais dans le souci de clarifier la situation le Vatican édictera un décret annonçant une excommunication immédiate et automatique des femmes prêtres ainsi que des évêques les ayant ordonnées[35].
En, la Colombienne Olga Lucia a été ordonnée prêtre à Sarasota, aux États-Unis[36]. Un article du Mondede estime à 99 le nombre de femmes catholiques ordonnées prêtres[37]. Or, comme il vient d'être dit au-dessus, l'expression『femme catholique ordonnée』est un oxymore, l'ordination d'une femme entraînant son excommunication, et la déposition de l'évêque l'ayant réalisée. Le , Georgia Walker a été ordonnée dans le Kansas (États-Unis)[38].
Degrés de l'ordination |
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Prêtres par confession |
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Formation, règles et état de vie |
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Forme traditionnelle des degrés dans l'Église catholique, en rite latin |
Ordres mineurs :
Ordres majeurs :
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Degrés pour les Églises de rite oriental |
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