Aller au contenu
 







Menu principal
   


Navigation  



Accueil
Portails thématiques
Article au hasard
Contact
 




Contribuer  



Débuter sur Wikipédia
Aide
Communauté
Modifications récentes
Faire un don
 








Rechercher  

































Créer un compte

Se connecter
 









Créer un compte
 Se connecter
 




Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus  



Contributions
Discussion
 



















Sommaire

   



Début
 


1 Biographie  



1.1  Famille et jeunesse  





1.2  Débuts littéraires  





1.3  Rencontre avec Rabindranath Tagore (1861-1941)  





1.4  Relation avec Pierre Drieu La Rochelle (1893-1945)  





1.5  La création de Sur  





1.6  LUnion argentine des femmes (Unión Argentina de Mujeres)  





1.7  Engagement pendant la Seconde Guerre mondiale  





1.8  Péronisme et arrestation  





1.9  Reconnaissance institutionnelle et dernières années  







2 Œuvre  



2.1  Œuvres publiées en français  







3 Notes  





4 Voir aussi  



4.1  Bibliographie  





4.2  Articles connexes  





4.3  Liens externes  
















Victoria Ocampo






العربية
مصرى
Aymar aru

Català
Čeština
Cymraeg
Dansk
Deutsch
English
Esperanto
Español
Euskara
Suomi
Galego
Հայերեն
Italiano

Nederlands
Norsk bokmål
Polski
Português
Runa Simi
Русский
Српски / srpski
Svenska
ி
Українська
Tiếng Vit
 

Modifier les liens
 









Article
Discussion
 

















Lire
Modifier
Modifier le code
Voir lhistorique
 








Outils
   


Actions  



Lire
Modifier
Modifier le code
Voir lhistorique
 




Général  



Pages liées
Suivi des pages liées
Téléverser un fichier
Pages spéciales
Lien permanent
Informations sur la page
Citer cette page
Obtenir l'URL raccourcie
Télécharger le code QR
Élément Wikidata
 




Imprimer/exporter  



Créer un livre
Télécharger comme PDF
Version imprimable
 




Dans dautres projets  



Wikimedia Commons
 
















Apparence
   

 






Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
 


Pour les articles homonymes, voir Ocampo.

Victoria Ocampo

Victoria Ocampo, un exemplaire de la revue Sur, qu'elle a fondée et dirigée, à la main
Biographie
Naissance

Voir et modifier les données sur Wikidata
Buenos AiresVoir et modifier les données sur Wikidata

Décès

Voir et modifier les données sur Wikidata (à 88 ans)
Buenos AiresVoir et modifier les données sur Wikidata

Sépulture

Cimetière de RecoletaVoir et modifier les données sur Wikidata

Nom de naissance

Ramona Victoria Epifanía Rufina Ocampo AguirreVoir et modifier les données sur Wikidata

Nationalité

argentineVoir et modifier les données sur Wikidata

Formation

Collège de France
Université de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata

Activités

Écrivaine, critique, éditrice, traductrice, personnalitéVoir et modifier les données sur Wikidata

Période d'activité

À partir de Voir et modifier les données sur Wikidata

Fratrie

Silvina OcampoVoir et modifier les données sur Wikidata

Parentèle

Adolfo Bioy Casares (beau-frère)Voir et modifier les données sur Wikidata

Autres informations
A travaillé pour

SurVoir et modifier les données sur Wikidata

Propriétaire de

Villa Victoria (Victoria Ocampo) (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Membre de

Académie argentine des lettres (en)Voir et modifier les données sur Wikidata

Partenaire

Silvina OcampoVoir et modifier les données sur Wikidata

Influencée par

Jacques MaritainVoir et modifier les données sur Wikidata

Distinctions
Enregistrement vocal
Prononciation

Victoria Ocampo Aguirre, née à Buenos Airesle et morte le à Beccar, dans la province de Buenos Aires, est une écrivaine, essayiste, traductrice, éditrice et mécène argentine.

Née au sein d’une famille de l'aristocratie, Victoria Ocampo reçoit une grande partie de son éducation en français. En 1924, elle publie son premier texte De Francesca à Beatrice avec l’appui de José Ortega y Gasset (1883-1952). Très jeune, elle participe aux premières manifestations des mouvements féministes et fonde en 1936 la Unión Argentina de Mujeres (l’Union des femmes argentines). Ses voyages autour du monde lui permettent d’entrer en contact avec les principales figures littéraires et intellectuelles de son époque tels que Rabindranath Tagore (1861-1941), Jules Supervielle (1884-1960), Jorge Luis Borges (1899-1986), Hermann von Keyserling (1880-1946). Encouragée par Waldo Frank et Eduardo Mallea (1903-1982), elle crée en 1931 la revue et maison d’édition Sur.

Biographie[modifier | modifier le code]

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (juin 2021)
Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

Famille et jeunesse[modifier | modifier le code]

Victoria Ocampo est l’aînée de six filles dont Silvina Ocampo (1903-1993), écrivaine et femme d’Adolfo Bioy Casares (1914-1999). Pendant son enfance, Victoria Ocampo bénéficie de l’éducation propre à l’aristocratie, elle apprend le français, l’anglais et l’espagnol ainsi que la littérature, la religion et les mathématiques. En 1896, la famille part pendant un an en Europe où elle visite les villes de Paris, Londres, Genève et Rome.

Dès son retour à Buenos Aires, Victoria Ocampo s’intéresse à la littérature et commence à lire divers auteurs tels que Jules Verne, Arthur Conan Doyle, Charles Dickens, Guy de Maupassant, Daniel Defoe, Victor Hugo, Oscar WildeetEdgar Allan Poe. En 1901, elle commence à écrire des articles et de petits récits en français. Très attirée par le théâtre, elle veut devenir comédienne, chose à laquelle son père s’oppose.

En, la famille retourne à nouveau en Europe. Âgée de 18 ans, elle suit des cours au Collège de France et à la Sorbonne où elle étudie la philosophie, la littérature classique et l'anglais ainsi que l’histoire de l’Orient et l’œuvre de DanteetNietzsche. Entre 1906 et 1911, elle entretient une amitié et des échanges épistolaires avec l’écrivaine Delfina Bunge (1881-1952). En 1912, elle se marie avec Luis Bernardo de Estrada, membre de l’aristocratie.

Pendant leur voyage de noces à Paris, elle rencontre le cousin de son mari, Julián Martínez, diplomate de quinze ans son aîné, dont elle s'éprend. En 1920, elle s’installe pendant quelques mois à Mar del Plata avec Martínez, mais leur liaison prend fin quelques mois après[réf. souhaitée], |au bout de 13 ans de relation.[réf. à confirmer] Victoria Ocampo raconte l’histoire de cet amour dans son livre Le Rameau de Salzbourg.

Débuts littéraires[modifier | modifier le code]

En 1920, elle publie son premier article dans le journal La Nación sur Dante. L’arrivée de José Ortega y Gasset en Argentine en 1916 marque le début de leur amitié. Cette rencontre joue un rôle important dans la prise de conscience et dans le choix linguistique de Victoria Ocampo qui décide d’adopter l’espagnol comme : « matière littéraire »[1]. Jusqu’en 1930, elle écrit tous ses articles en français. En 1924, elle publie De Francesca à Beatrice, traduit par Ricardo Baeza au sein de la Revista de Occidente. Son amitié avec José Ortega y Gasset , qui l’appelle « la Gioconde de la Pampa » s’effrite pour des motifs personnels, mais reprend à nouveau au début des années 30 avec la fondation de la revue Sur.

Rencontre avec Rabindranath Tagore (1861-1941)[modifier | modifier le code]

Victoria Ocampo et Rabindranath Tagore, en 1924, au parc de Miralrío.

En 1924, elle écrit un article sur Rabindranath Tagore intitulé « La alegría de leer a Rabindranath Tagore » (« Le bonheur de lire Rabindranath Tagore »). La même année, Tagore arrive à Buenos Aires. Victoria Ocampo lui rend visite dans son hôtel et l’invite à devenir son hôte à la villa Ocampo.

Face à l’opposition de ses parents, Ocampo loue la villa « Miralrío », propriété du mari de l’une de ses cousines. La visite de Tagore se prolonge pendant deux mois période pendant laquelle leur amitié s’approfondit. Après le départ de Tagore, ils entretiennent des échanges épistolaires. En 1930, ils se retrouvent à Paris pour la dernière fois à l’occasion de l’exposition des peintures d’Ocampo à la galerie Pigalle.

Relation avec Pierre Drieu La Rochelle (1893-1945)[modifier | modifier le code]

En 1929, Pierre Drieu La Rochelle rencontre Victoria Ocampo lors d’un déjeuner. À la suite d'une deuxième rencontre, ils se voient de manière fréquente dans Paris. Ils se rendent ensemble en Normandie, avant le départ d’Ocampo vers l’Espagne. Drieu écrit à celle qui lui a inspiré Camilla dans L'Homme à cheval : « Je regretterai toute ma vie de n'avoir pas été ton amant pour la vie. Ç'aurait été profondément magnifique et grand[2]. »

En, Drieu arrive à Buenos Aires, invité par Sur. Dans la ville, il noue une solide amitié avec Jorge Luis Borges. Encouragé par Ocampo, Drieu entreprend une tournée en Argentine où il parle de thèmes tels que la crise démocratique. Après s’être engagé en faveur du fascisme et de la collaboration avec le régime nazi, Drieu La Rochelle se suicide le . Ocampo est l’une des trois personnes avec André Malraux à avoir eu accès à son testament.

La création de Sur[modifier | modifier le code]

Lors d’une conférence sur Charles Chaplin, Victoria Ocampo rencontre l’écrivain américain Waldo Frank qui l’invite aux États-Unis. Ocampo entreprend une série de voyages aux États-Unis pendant les années 1930, où elle rencontre Jacques Lacan, Ramón Gómez de la Serna, Sergueï EisensteinetLe Corbusier.

Waldo Frank suggère à Ocampo de fonder une revue littéraire qui traite de problématiques littéraires de leur époque. Au moment où Ocampo partage avec son père son envie d’entreprendre ce projet, celui-ci lui répond : "Tu vas couler, Victoria"[3].

Le apparaît le premier exemplaire de Sur avec la participation de Drieu La Rochelle, Jorge Luis Borges, Waldo Frank, Walter Gropius, Eugenio d'Ors, entre autres. Tiré à 4 000 exemplaires et distribué en Argentine, Paris et Madrid, le premier numéro est vite épuisé. Très vite, des groupes nationalistes attaquent la publication, notamment à cause de nombreuses personnalités étrangères qu’y participent et accusent Ocampo de vouloir satisfaire uniquement les lecteurs étrangers. En 1933, Ocampo est considérée comme persona non grata par la Curie romaine, en raison de son amitié avec des personnes considérées comme des ennemies de l’Église tels que Tagore, Krishnamurti et Malraux.

En 1933, Victoria Ocampo fonde la maison d’édition Sur, afin de faire connaître la littérature étrangère en Argentine. La même année, la maison d’édition publie pour la première fois l’œuvre de D. H. Lawrence, ainsi que le Romancero gitanodeFederico García Lorca, Contrepoint d’Aldous Huxley. En 1936, la maison d’édition publie La Condition humaine d’André Malraux et l’année suivante OrlandoetUne chambre à soideVirginia Woolf, traduits par Borges. Ocampo participe à la traduction des auteurs tels qu'Albert Camus, Graham Greene, D.H LawrenceetDylan Thomas.

L’Union argentine des femmes (Unión Argentina de Mujeres)[modifier | modifier le code]

Dans son essai, La Femme et son expression publié en 1936, Victoria Ocampo s’interroge sur la marginalisation des femmes au sein du patriarcat et sur son propre rapport à la culture moderne.

Cette même année, elle fonde l'Unión Argentina de Mujeres avec l’écrivaine communiste María Rosa Oliver. L’organisation lutte de manière active contre la réforme de la loi 11 357 qui cherche à supprimer les droits civils obtenus en 1926 et qui permettent aux femmes mariées de pouvoir disposer de leur personne et de leurs biens. En , Ocampo prononce un discours à la radio, transmis simultanément en Espagne, où elle fait appel à une solidarité internationale entre femmes. L’Union des femmes argentines obtient l’abandon de cette réforme.

Engagement pendant la Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Victoria Ocampo prend part à plusieurs groupes de soutien aux réfugiés de la Seconde Guerre mondiale, de la même manière qu’elle avait apporté son aide aux réfugiés de la guerre d'Espagne. C’est grâce à son invitation que la photographe Gisèle Freund échappe à la Gestapo en 1941. De même, elle invita à trois reprises à Buenos Aires le poète roumain Benjamin Fondane qui meurt gazé à Auschwitz à l’âge de 46 ans. Pendant six ans, Victoria Ocampo offre son aide à Roger Caillois arrivé en Argentine en 1938 à son invitation. Pendant cette période, Ocampo propose à Caillois de diriger la revue Les Lettres nouvelles qui présente des écrivains de la France libre[4]. À l'occasion de la libération de Paris, Ocampo se joint à la manifestation de femmes en soutien aux alliés à Buenos Aires réprimée par Juan Domingo Perón. En 1946, Victoria Ocampo, invitée par le gouvernement britannique, est la seule latino-américaine à assister au procès de Nuremberg.

Péronisme et arrestation[modifier | modifier le code]

Victoria Ocampo a toujours manifesté son hostilité envers Juan Perón. À l’annonce de la loi pour le suffrage féminin, elle manifeste son indignation face à l’obtention de ce droit de la part d’un gouvernement qu’elle considère comme antidémocratique. Le , moins d’un mois après l’explosion de deux bombes sur la place de Mai pendant une manifestation organisée par la Confédération générale du travail de la République argentine (CGT), Victoria Ocampo est mise en détention et sa maison est perquisitionnée. La nouvelle de son arrestation suscite une vive émotion au niveau international. Aldous Huxley et Waldo Frank animent le Comité International pour la libération des intellectuels argentins. À la demande de l'avocate Victoria Kent, Albert Camus fédère un groupe pour demander sa libération[5]. Le premier ministre indien Jawaharlal Nehru et le prix Nobel de littérature Gabriela Mistral envoient tous deux un télégramme à Perón afin d’exiger sa libération. Le , après 26 jours de prison, Victoria Ocampo est libérée.

Reconnaissance institutionnelle et dernières années[modifier | modifier le code]

En 1958, elle est nommée présidente du Fonds national d’arts. En 1962, elle est décorée de l’ordre des Arts et des Lettres français et un hommage lui est rendu par ses collaborateurs, admirateurs et amis, auquel participent Graham Greene, Jacques Maritain, Le Corbusier, Marguerite YourcenaretT.S.Eliot. En 1965, elle est décorée par la reine Élisabeth II de l’ordre de l’Empire britannique. En 1967, elle devient docteur honoris causa de l’université Harvard. En , elle devient la première femme à être élue à l’Académie argentine des lettres.

Victoria Ocampo meurt le , à l’âge de 88 ans, des suites d’un cancer.

Œuvre[modifier | modifier le code]

Victoria Ocampo privilégie la dimension autobiographique sur la dimension esthétique. La relation entre l’écrivain, la littérature et la vie est l’un des topos de ses livres qui s’appuient sur l’expérience et la subjectivité. À ce propos, dans l’une de ses lettres, Julio Cortázar lui dit :

« Vous n'avez jamais eu peur du je, parce que vous êtes si passionnément attentive au tu, où le je prends un sens[4]. »

Œuvres publiées en français[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Cité par Silvia Baron Supervielle dans son intervention « Victoria Ocampo » aux rencontres de la maison des écrivains et de la littérature : « Victoria Ocampo » (consulté le ).
  • « Victoria Ocampo parle de Drieu La Rochelle », sur L'Humanité, (consulté le ).
  • (es) María Esther Vázquez, Victoria Ocampo, Buenos Aires, Planeta, , 231 p. (ISBN 950-742-056-8), p.129
  • aetb Silvia Baron Supervielle, op. cit.
  • Marie-Thérèse Blondeau, « Victoria Ocampo - Albert Camus, Correspondencia (1946-1959) », Présence d'Albert Camus, France, Société des études camusiennes, no 12,‎ , p. 153 (lire en ligne).
  • « Le prix Sévigné honore Drieu La Rochelle », sur Le Magazine litteraire, (consulté le ).
  • Voir aussi[modifier | modifier le code]

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Liens externes[modifier | modifier le code]

  • ISNI
  • BnF (données)
  • IdRef
  • LCCN
  • GND
  • Italie
  • CiNii
  • Espagne
  • Pays-Bas
  • Pologne
  • Israël
  • NUKAT
  • Catalogne
  • Suède
  • Norvège
  • Tchéquie
  • Portugal
  • WorldCat

  • Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Victoria_Ocampo&oldid=215008978 ».

    Catégories: 
    Écrivain de langue espagnole
    Écrivain argentin francophone
    Traductrice argentine
    Naissance à Buenos Aires
    Naissance en avril 1890
    Décès en janvier 1979
    Commandeur des Arts et des Lettres
    Commandeur de l'ordre de l'Empire britannique
    Décès dans la province de Buenos Aires
    Décès à 88 ans
    Famille Ocampo
    Personnalité de la liste Portraits de France
    Catégories cachées: 
    Page utilisant le modèle op. cit.
    Page utilisant P569
    Page utilisant P19
    Page utilisant P570
    Page utilisant P20
    Page utilisant P119
    Page utilisant P1477
    Page utilisant P27
    Page utilisant P69
    Page utilisant P106
    Page utilisant P2031
    Page utilisant P3373
    Page utilisant P1038
    Page utilisant P108
    Page utilisant des données de Wikidata à traduire de l'anglais
    Page utilisant P1830
    Page utilisant P463
    Page utilisant P1327
    Page utilisant P737
    Page utilisant P166
    Article utilisant l'infobox Biographie2 avec la charte écrivain
    Page utilisant P990
    Page utilisant P443
    Article utilisant l'infobox Biographie2
    Article utilisant une Infobox
    Article manquant de références depuis juin 2021
    Article manquant de références/Liste complète
    Article à référence souhaitée
    Article à référence à confirmer
    Page utilisant P5645
    Page pointant vers des bases externes
    Page pointant vers des bases relatives à la littérature
    Page utilisant P1417
    Page utilisant P5019
    Page utilisant P4539
    Page utilisant P7902
    Page utilisant P7578
    Page utilisant P1296
    Page utilisant P7982
    Page utilisant P3222
    Page utilisant P1284
    Page utilisant P8349
    Page utilisant P3219
    Page utilisant P7666
    Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes
    Article de Wikipédia avec notice d'autorité
    Portail:Argentine/Articles liés
    Portail:Amérique/Articles liés
    Portail:Amérique du Sud/Articles liés
    Portail:Littérature/Articles liés
    Portail:Femmes/Articles liés
    Bon article en espagnol
    Wikipédia:Article biographique
    Portail:Biographie/Articles liés/Culture et arts
     



    La dernière modification de cette page a été faite le 11 mai 2024 à 15:26.

    Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; dautres conditions peuvent sappliquer. Voyez les conditions dutilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence.
    Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.



    Politique de confidentialité

    À propos de Wikipédia

    Avertissements

    Contact

    Code de conduite

    Développeurs

    Statistiques

    Déclaration sur les témoins (cookies)

    Version mobile



    Wikimedia Foundation
    Powered by MediaWiki