Aller au contenu
 







Menu principal
   


Navigation  



Accueil
Portails thématiques
Article au hasard
Contact
 




Contribuer  



Débuter sur Wikipédia
Aide
Communauté
Modifications récentes
Faire un don
 








Rechercher  

































Créer un compte

Se connecter
 









Créer un compte
 Se connecter
 




Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus  



Contributions
Discussion
 



















Sommaire

   



Début
 


1 Biographie  





2 Les femmes de sa vie  





3 L'amitié de Max Elskamp  





4 La période londonienne  





5 L'Enragé  





6 Satan l'Obscur  





7 Le dernier volet de la trilogie  





8 Le renouvellement de l'écriture  





9 Les Paons et autres merveilles  





10 Les dernières années en Berry  





11 Œuvre publiée  



11.1  Textes  





11.2  Illustrations  







12 Notes et références  





13 Annexes  



13.1  Bibliographie  





13.2  Liens externes  
















Jean de Bosschère






Deutsch
English
Nederlands
 

Modifier les liens
 









Article
Discussion
 

















Lire
Modifier
Modifier le code
Voir lhistorique
 








Outils
   


Actions  



Lire
Modifier
Modifier le code
Voir lhistorique
 




Général  



Pages liées
Suivi des pages liées
Téléverser un fichier
Pages spéciales
Lien permanent
Informations sur la page
Citer cette page
Obtenir l'URL raccourcie
Télécharger le code QR
Élément Wikidata
 




Imprimer/exporter  



Créer un livre
Télécharger comme PDF
Version imprimable
 




Dans dautres projets  



Wikimedia Commons
Wikisource
 
















Apparence
   

 






Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
 


Pour les articles homonymes, voir De Bosschère.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Jean de Bosschère

Ovide, encre de Jean de Bosschère, période modern style
Naissance

Voir et modifier les données sur Wikidata
Malèves-Sainte-Marie-WastinesouVille de BruxellesVoir et modifier les données sur Wikidata

Décès

Voir et modifier les données sur Wikidata (à 74 ans)
ChâteaurouxVoir et modifier les données sur Wikidata

Sépulture

La ChâtreVoir et modifier les données sur Wikidata

Nationalités

belge
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata

Activités

Peintre, écrivain, critique d'art, biographe, poète, graveurVoir et modifier les données sur Wikidata

Formation

Académie royale des beaux-arts d'AnversVoir et modifier les données sur Wikidata

Archives conservées par

Maison des lettres[1]
Bibliothèque Beinecke de livres rares et manuscrits (YCAL MSS 838, accession 15)[2]Voir et modifier les données sur Wikidata

Jean de Bosschère[3] (Uccle, - Châteauroux, ) est un écrivain, peintre, dessinateuretgraveur belge naturalisé français en 1951[4]. Ce « paria » des lettres françaises[5] est mort laissant une œuvre multiple (romans, poèmes, essais, journal, peintures, dessins, estampes, sculptures...). Admiré par certains écrivains mais largement méconnu du public, il a traversé les grands mouvements littéraires du siècle sans s'y attarder, plus enclin à arpenter « les ténébreuses frontières de l'humain »[réf. nécessaire] qu'à se mêler à la foule.

Philippe Jaccottet l'a défini[Où ?] : « Jean de Bosschère unit à l'exaltation de l'amoureux la précision scientifique d'un fils de botaniste. Aussi loin qu'il descendit jadis dans l'obscurité tourmentée de son âme, il a pénétré dans les mystérieux replis des parfums, des formes et des cris. »

Biographie[modifier | modifier le code]

Jean De Bosschere est né à Uccle[6] le 5 juillet 1878. Il adoptera, outre un D minuscule à la particule, l'orthographe francisée de son nom avec un accent grave sur le E et la suppression d'un S pour que son patronyme soit de Boschère. Toutes ses œuvres seront publiées après 1944 sous le nom qu'il avait ainsi légèrement modifié[7].

Jean de Boschère est né dans une fratrie de sept enfants dont deux moururent en bas âge. Son père, Charles[8], était le fils d'Augustin, un jardinier d'Astene qui avait épousé à Hoboken[9] en 1848 Marie Anne Martens, originaire de Venlo. Charles avait d'abord suivi des études d'instituteur à Lierre et s'intéressa ensuite particulièrement à la botanique, son père et son grand-père étaient eux-mêmes des jardiniers. Il écrivit plusieurs livres de botanique et d'horticulture. Il épousa Hélène Marie Nancy Vanderstock en 1875 à Anvers[10]. Celle-ci était également la fille d'un instituteur[11]. Dès 1877, Charles fut instituteur à Bruxelles et habitait Uccle, à la rue de la Station. Il enseigna ensuite, à partir de 1884, les sciences naturelles à Lierre où il avait été nommé. Dans cette petite ville flamande, Jean de Boschère vécut assez à l'écart de autres enfants de son âge et fut très peu assidu à l'école. En 1894, Charles est nommé à Anvers où il s'établit avec les siens.

Jean de Boschère, lui, après avoir été en 1893 élève de l'Ecole d'horticulture de Gand, sans grand résultat d'ailleurs, fut autorisé par son père à s'inscrire à l'Académie royale des beaux-arts d'Anvers. Il effectua également son service militaire tout en fréquentant cette Académie. Là, il rencontra notamment Isidore Opsomer, Émile Vloors ou encore Walter Vaes. Mais après ses années à l'Académie, il ne fut point peintre, mais critique et historien de l'art. Il écrivit alors plusieurs études notamment sur la sculpture, la peinture et l'architecture flamandes des XVe et XVIe siècles.

L'amitié et la solitude ont été les deux versants de l'attitude de Bosschère devant la vie. Toutes ses amitiés importantes, notamment avec André Suarès, Oscar Vladislas de Lubicz-Milosz, Gabriel Bounoure, Jacques Audiberti, Joë Bousquet, René Daumal, Antonin Artaud, Benjamin FondaneetBalthus, furent provoquées par l'admiration littéraire et humaine avant d'être développées et entretenues par une association du cœur et de l'âme.

Par ailleurs, De Bosschère n'était pas seulement écrivain, il travaillait aussi comme artiste graphique, notamment en tant qu'illustrateur pour ses livres.

Il a illustré entre autres des ouvrages d'Oscar Wilde et d'Antonin Artaud. À partir de 1905 il réalise régulièrement des gravures pour illustrer ses propres livres, tels que Édifices anciens (1908), Dolorine et les ombres (1911), Twelve occupations (1916), Le Bourg (1922) et Job le pauvre (1923). Il travaille dans le style art nouveau, aussi appelé Jugendstiloumodern style, ce dernier terme étant peut-être le plus juste, puisque le style de De Bosschère présente des ressemblances avec l'œuvre d'Aubrey Beardsley. De Bosschère dessinait, tout comme Beardsley, des formes ondulantes et décoratives et des plantes stylisées, et se servait avec aisance de la répartition du noir et du blanc sur la surface. Les dessins imprimés en noir et ocre dans Dolorine et les ombres témoignent de l'intérêt que portait De Bosschère à tout ce qui est occulte et obscur.

Bosschère laisse de nombreux portraits de ses amis : André Suarès, Antonin Artaud, Henri Michaux, Max Jacob, Jean PaulhanouJean Follain.

Les femmes de sa vie[modifier | modifier le code]

Tout d’abord sa mère qui eut sur lui une influence profonde. Sans l'orgueil et sans « les rêveries intempestives de ma » mère, je fus devenu un joli brigand, écrira-t-il plus tard. La bibliothèque classique de celle-ci le marqua également. Sa mère mourut le 24 août 1913, alors qu’il traversait une grave crise morale. Il écrira à un correspondant Puissiez-vous ne connaître que très tard l'effondrement qui » brise le fils à la mort de sa mère. A André Suarès, il écrira en septembre 1913 Ma mère est aujourd'hui la barrière contre l'idée du suicide qui revient par vagues furieuses... .

Il y eut ensuite son épouse, Jeanne Fanny Alexandra Janssens, qu’il épousa le 25 mars 1905 à Anvers[12]. Mais ils ne vécurent ensemble que quelques années. Ils se séparèrent en 1912. La Sidonie dans son roman Satan l’obscur de 1933 est Jeanne Janssens. En 1917, ils décident de se séparer définitivement. Toujours encore en Angleterre, il obtint en octobre 1923 de la Cour de Justice de Londres a judicial separation.

Vers 1915, il avait rencontré Anne Véra Hamilton, une jeune veuve qui avait deux enfants. Journaliste, celle-ci écrivait sous le pseudonyme de Muriel Barrow. C’est par l’intermédiaire d’André Suarès qu’il la rencontra. Il la décrira dans un roman sous le nom de Douce. Cette liaison se déroula tragiquement, avec la maladie de Douce, qui mourut en 1922.

Enfin, durant la maladie de Douce, il rencontra à Londres Elisabeth d'Ennetières qui sera sa compagne durant 33 ans, l’accompagnant en Italie, à Paris et ailleurs, le soutenant toujours. Elle a publié un récit de leur vie commune Nous et les autres[13]. C’est en février 1923 qu’il quitta définitivement Londres accompagné d'Elisabeth d'Ennetières.

L'amitié de Max Elskamp[modifier | modifier le code]

En 1909, quand paraît La Sculpture anversoise aux XVe et XVIe siècles, Bosschère l'envoie à Max Elskamp, poète qui occupe une position singulière puisqu'il n'a rien publié depuis onze ans et que son silence passe pour définitif. Elskamp, en effet, a rassemblé en 1898 sous le titre La Louange de la vie les quatre recueils parus à Bruxelles de 1892 à 1895. La même année, il a encore publié à Bruxelles Enluminures, puis il a cessé d'écrire. Bosschère a trente et un ans, Elskamp quarante-sept. Tout en confortant son admiration, le cadet va prendre en affection l'aîné, qui le lui rendra bien. Par l'échange de leurs impressions spirituelles, les deux hommes se lient profondément l'un à l'autre. Si les lettres de Bosschère à Elskamp ont été égarées, à quelques exceptions près, nous possédons celles d'Elskamp qui en donnent un témoignage subtil. Magnifique hommage rendu au poète et à l'ami, l'essai Max Elskamp de Jean de Bosschère, publié en 1914, demeure irremplaçable pour la connaissance du poète.

La période londonienne[modifier | modifier le code]

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Établi à Londresen1915, il y rencontre Ezra Pound et les écrivains imagistes, et développe ses dons d'illustrateurs. Il écrit alors en anglais et entretient une amitié avec James Joyce, Aldous HuxleyetT. S. Eliot. Son travail est publié dans The Little Review.

L'Enragé[modifier | modifier le code]

Au début de 1926, Bosschère s'installe près de la gare de Lyon, à Paris. Il y restera treize ans. Il rencontre Antonin Artaud à l'époque où il écrit son roman Marthe et l'enragé, dont Antonin Artaud dira dans La Nouvelle Revue française, en  : " Après avoir démonté les rouages psychologiques de ses personnages, jusqu'aux plus fins, jusqu'à ceux qui ont une sensibilité de membrane, Jean de Bosschère les lance dans un drame effroyable dont les moindres péripéties sont décrites avec sens de l'orientation des lieux, avec des effets de perspectives mentales qui ont quelque chose de véritablement hallucinant."

Satan l'Obscur[modifier | modifier le code]

Jean de Bosschère a cinquante deux ans quand paraît, en 1933, Satan l'Obscur, roman autobiographique « où l'érotisme, la poésie, la religion et le sublime voisinent » (Antonin Artaud). Dans Satan l'Obscur, il évoque sa double liaison, avec Douce et sa fille Fryne, qu'il a vécue de 1916 à 1922. La complexité de la situation, la richesse psychologique du roman témoignent d'un homme hanté par des souffrances aiguës. L'Obscur, Pierre Bioulx d'Ardennes, est un homme tourmenté, non par une impuissance radicale, mais par une difficulté qui le contraint aux caresses raffinées, aux rites d'éclairages favorables et de dénudements partiels. Fryne trouve bon l'amour physique que Pierre trouve mauvais parce qu'il ne s'y sent pas assuré. Il fuira cette amoureuse après avoir remporté une victoire. Douce lui avait demandé d'ouvrir le cœur de sa fille, et il y est parvenu, mais il refuse cette nouvelle situation. En la quittant, il éprouve de la joie : « Vengeance infernale d'un homme corrompu par les défaites de ses luttes impossibles. » Pierre, celui par qui le bonheur n'arrive pas, est peut-être le versant négatif de Bosschère. Il a recours à cette amplification morale du mal qui serait en lui, probablement pour éviter d'être nu.

Le dernier volet de la trilogie[modifier | modifier le code]

Véronique de Sienne, achevé en 1933 et resté inédit, est le troisième volet d'une trilogie à base autobiographique qui comprend Marthe et l'EnragéetSatan l'Obscur. D'emblée, le lecteur est plongé dans un univers singulier où une femme vit sous le regard d'un esthète. La préciosité, qui est une qualité chez Bosschère, contribue à magnifier une Sienne sombre et secrète : « Pourquoi de telles nuits italiennes nous portent-elles à rendre un hommage d'amour à Shakespeare, toujours ? »

Le renouvellement de l'écriture[modifier | modifier le code]

En 1936, année où il termine L'Obscur à Paris, jaillissent les premiers poèmes qui marquent le renouvellement de son écriture. Ses proses parisiennes (L'Obscur à ParisetParis clair-obscur – parus respectivement en 1937 et 1946) sont empreintes de ce voisinage en esprit. Vocabulaire étrange et luxuriant, discours sans concession témoignent de la préoccupation de l'artiste à qui observer ne suffit pas. Au-delà de notations précises, méticuleuses, il lui faut la transfiguration. L'humanité fort simple, et parfois en marge de la société, qu'il observe dans son quartier, et quelques zones limitrophes, il lui offre, par projection de soi et par la grâce du talent, la magnificence. Ce qui, sous la plume de tout autre, n'aurait été qu'un livre sur Paris, gracieux et fin, devient un chef-d'œuvre d'observation où sourd la construction intellectuelle et morale d'un homme tourmenté par l'humain.

Les Paons et autres merveilles[modifier | modifier le code]

Jean de Boschère a cinquante deux ans quand il vient vivre à Vulaines près de Fontainebleau en compagnie d'Élisabeth d'Ennetières avec laquelle il est parti pour l'Italie en 1922. Il a la tête pleine des beautés de la campagne romaine et bien des sensations de sa vie près d'Albano débordent de son cœur. Les Paons et autres merveilles est un livre autobiographique où il est question des paysages et des oiseaux plus que de l'homme. Au-delà des premières apparences, Boschère offre un « sentiment de l'Italie » : un monde de lumière et de chaleur saisi dans une langue inaltérable. Cette dette envers la campagne romaine, Boschère la ressentira toute sa vie et il en comprendra l'importance. « C'est toujours dans le Pays du Merle bleu, où j'ai vécu avec le soleil, les fleurs et les oiseaux, que cela me fut révélé », écrira-t-il. Cette façon d'être prépare la voie d'une évolution lente et ardente où d'autres livres de nature s'ajouteront aux Paons.

Les dernières années en Berry[modifier | modifier le code]

À la fin de la seconde guerre mondiale, Jean de Boschère s'installe à La Châtre, sous-préfecture de l'Indre, aux portes de la Vallée noire chère à George Sand et à quelques kilomètres de la maison de cette dernière à Nohant.

La demeure où Boschère passa les dernières années de sa vie, de 1945 à 1953, est située au 182 rue Nationale.
Elle lui rend aujourd'hui hommage par une plaque commémorative.

Ces années passées en Berry lui permettront de livrer ses ultimes œuvres, dont notamment les Lettres de La Châtre publiées après sa mort (cf. bibliographie ci-dessous).

Il est enterré au cimetière de La Châtre dans une tombe dans laquelle sa compagne d'un tiers de siècle, Elisabeth d'Ennetières, est venue le rejoindre : une simple pierre de granit, ornée d'un crucifix, sous laquelle ils reposent tous deux, et portant les lapidaires mentions Jean de Boschère 1878 - 1953etElisabeth d'Ennetières 1889 - 1986

Œuvre publiée[modifier | modifier le code]

Textes[modifier | modifier le code]

Nous présentons ici les ouvrages contenant principalement du texte, mais certains peuvent être illustrés.

Illustrations[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  • Naturalisé français après 1945, son nom fut transcrit de Boschère. C'est la forme Jean de Boschère qui figure sur sa tombe.
  • Biographie nationale de l'Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, t. 42, 1981, col. 76.
  • Selon la formule du critique Robert Guiette (1956), cf. supra.
  • Commune d'Uccle, acte de naissance n° 232 du 5 juillet 1878. Pardevant l'officier de l'état civil d'Uccle Henri Asselbergs-Lequime, le comparant Charles Lievin De Bosschere, âgé de 28 ans, professeur, né à Anvers, père de l'enfant, déclare que de son épouse Marie Nancy Vanderstock, âgée de 27 ans, ménagère, née à Saint-Trond, tous deux domiciliés à Uccle, rue de la Station, est né ce même jour à une heure du matin un fils nommé Jean De Bosschere. Les témoins étaient François Tousseyn, 44 ans, secrétaire communal, et Emile Hubar, 32 ans, employé, domicilié à Uccle.
  • Jean Warmoes, Boschère (Jean de), dans la Biographie nationale publiée par l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts, tome 42, supplément tome XIV, fascicule 1er, colonnes 56 à 82, lire en ligne sous le lien [1].
  • Charles De Bosschere est mort à Mortsel en 1935.
  • Hoboken, acte de mariage n° 15 du 19 juillet 1848. Augustinus De Bosschere, né le 3 octobre 1819 à Astene, résidant à Anvers, jardinier de profession, est le fils de Livinus De Bosschere, résidant à Astene, jardinier de profession, et de Catharina Louisa Homble, morte à Astene, célibataire, le 11 mars 1832. Maria Anna Martens, née le 28 avril 1814 à Venlo, aux Pays-Bas, résidant à Hoboken, est la fille d'Hendrik Martens, mort le 27 juillet 1840 à Venlo, et de Joanna Laurents, résidant à Hoboken, sans profession.
  • Anvers, acte de mariage n° 1067 du 25 septembre 1875 entre d'une part Carolus Livinus De Bosschere, professeur, demeurant à Bruxelles et né à Anvers, fils d'Augustinus De Bosschere, horticulteur, et de Maria Anna Martens, tous deux demeurant à Anvers, et d'autre part Helena Maria Nancy Vanderstock, enseignante à l'école moyenne, née à Saint-Trond, demeurant à Anvers, fille de Fredericus Vanderstock et de Juliana Henrica Hanlet, tous deux décédés. L'acte est notamment signé par les conjoints Ch De BosschereetN. Vanderstockt.
  • Les parents d'Hélène Marie Nancy Vanderstockt étaient d'une part Frederic Vanderstock, né le 5 novembre 1813 à Kalken, résidant à Bruxelles en 1841 à la rue de Eperonniers, instituteur primaire de profession, fils de Frederic Alexandre Vanderstock, résidant à Hasselt et employé des accises, et de Thérèse Cornand, et d'autre part Julienne Henriette Hanlet, née le 29 août 1819 à Turnhout, et résidant à Bruxelles, rue de Louvain en 1841, fille des feus Antoine François Wenceslas Hanlet et Constance Bertin. Ils s'étaient mariés à Bruxelles (acte n° 403) le 6 mai 1841. Les témoins du mariage étaient Jacques Da Costa, âgé de 47 ans, résidant à Bruxelles, officier attaché à l'Etat Major, Jean Kops, âgé de 34 ans, résidant à Malines, instituteur en chef de l'école primaire du gouvernement, Jean Pieters, âgé 42 ans, résidant à Bruxelles, instituteur en chef de l'école primaire du gouvernement, et Alexandre Hanlet, oncle de Julienne Henriette Hanlet, âgé de 53 ans, résidant à Louvain, et directeur de pensionnat.
  • Anvers, acte de mariage n° 551 du 25 mars 1905. Jean De Bosschere est qualifié d'artiste-peintre (kunstschilder) et se sparents sont présents et consentant à au mariage de leur fils. L'épouse est Joanna Fanny Alexandrina Cornelius Janssens, sans profession, née le 2 octobre 1878 à Kontich, demeurant à Anvers, fille de Alphonsus Joannes Maria Janssens, superviseur de bureau de l'Administration provinciale Anvers, et de Maria Anna Hortensia Tops, tous deux demeurant à Anvers. L'acte est notamment signé Jean deBosschere, J Janssens, Charles de Bosschere, Nancy van der Stock, Hortense Tops, etc.
  • Nous et les autres, Aurillac, Editions du Centre, 1967.
  • Annexes[modifier | modifier le code]

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    Liens externes[modifier | modifier le code]

    Sur les autres projets Wikimedia :

  • ISNI
  • BnF (données)
  • IdRef
  • LCCN
  • GND
  • Belgique
  • Pays-Bas
  • Pologne
  • Israël
  • NUKAT
  • Catalogne
  • Vatican
  • Norvège
  • Tchéquie
  • Portugal
  • WorldCat

  • Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Jean_de_Bosschère&oldid=214247618 ».

    Catégories: 
    Poète belge du XXe siècle
    Poète français du XXe siècle
    Essayiste belge du XXe siècle
    Essayiste français du XXe siècle
    Biographe belge
    Biographe français
    Peintre belge du XXe siècle
    Peintre français du XXe siècle
    Graveur belge du XXe siècle
    Graveur français du XXe siècle
    Dessinateur belge
    Dessinateur français
    Étudiant de l'Académie royale des beaux-arts d'Anvers
    Naissance en juillet 1878
    Naissance à Uccle
    Décès en janvier 1953
    Décès à 74 ans
    Personnalité inhumée à La Châtre
    Catégories cachées: 
    Article manquant de références depuis décembre 2012
    Article manquant de références/Liste complète
    Page utilisant P569
    Page utilisant P19
    Page utilisant P570
    Page utilisant P20
    Page utilisant P119
    Page utilisant P27
    Page utilisant P106
    Page utilisant P69
    Page utilisant P485
    Article utilisant l'infobox Artiste
    Article utilisant une Infobox
    Article à référence nécessaire
    Article avec une section vide ou incomplète
    Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata
    Page utilisant P4432
    Page utilisant P2843
    Page utilisant P3965
    Page utilisant P1988
    Page utilisant P4687
    Page utilisant P2268
    Page utilisant P650
    Page utilisant P245
    Page pointant vers des bases externes
    Page pointant vers des bases relatives aux beaux-arts
    Page utilisant P1233
    Page pointant vers des bases relatives à la littérature
    Page utilisant P434
    Page pointant vers des bases relatives à la musique
    Page utilisant P2732
    Page pointant vers des bases relatives à la recherche
    Page utilisant P4342
    Page utilisant P3219
    Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes
    Article de Wikipédia avec notice d'autorité
    Portail:Peinture/Articles liés
    Portail:Arts/Articles liés
    Portail:Gravure/Articles liés
    Portail:Littérature française ou francophone/Articles liés
    Portail:Littérature française/Articles liés
    Portail:Littérature/Articles liés
    Portail:France/Articles liés
    Portail:Europe/Articles liés
    Portail:Poésie/Articles liés
    Wikipédia:Article biographique
    Portail:Biographie/Articles liés/Peinture
    Portail:Biographie/Articles liés/Culture et arts
    Portail:Biographie/Articles liés/Gravure
     



    La dernière modification de cette page a été faite le 14 avril 2024 à 18:19.

    Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; dautres conditions peuvent sappliquer. Voyez les conditions dutilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence.
    Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.



    Politique de confidentialité

    À propos de Wikipédia

    Avertissements

    Contact

    Code de conduite

    Développeurs

    Statistiques

    Déclaration sur les témoins (cookies)

    Version mobile



    Wikimedia Foundation
    Powered by MediaWiki