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1 Biographie  



1.1  Sources  





1.2  Origines  





1.3  Éducation  





1.4  Vie et défense des icônes  





1.5  Critique de l'islam, du nestorianisme et dernières années  





1.6  Destin posthume  







2 Œuvres de Jean Damascène  



2.1  Introduction à ses œuvres  





2.2  Liste d'œuvres  







3 Voir aussi  



3.1  Bibliographie  



3.1.1  En français  





3.1.2  En anglais  







3.2  Articles connexes  





3.3  Liens externes  



3.3.1  Bases de données publiques  





3.3.2  Écrits de Jean Damascène consultables en ligne  









4 Notes et références  



4.1  Notes  





4.2  Références  
















Jean Damascène






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Pour l’article homonyme, voir Saint Jean.

Jean Damascène
يُوحَنَّا ٱلدِّمَشْقِي

Jean Damascène, icône orthodoxe grecque moderne.
Biographie
Naissance

Vers Voir et modifier les données sur Wikidata
DamasVoir et modifier les données sur Wikidata

Décès

Voir et modifier les données sur Wikidata
Monastère Mar SabaVoir et modifier les données sur Wikidata

Nom dans la langue maternelle

يوحنا الدمشقيVoir et modifier les données sur Wikidata

Activité

théologien, écrivain, clerc, compositeur, hymnographe, saint orthodoxe.

Période d'activité

VIIe siècleVoir et modifier les données sur Wikidata

Père

Sarjoun ibn MansourVoir et modifier les données sur Wikidata

Fratrie

Côme de Maïouma (par adoption)

Parentèle

Mansour ibn Sarjoun (grand-père)Voir et modifier les données sur Wikidata

Autres informations
Étape de canonisation

SaintVoir et modifier les données sur Wikidata

Fête

4 décembreVoir et modifier les données sur Wikidata

Titre honorifique
Docteur de l'Église
Œuvres principales

Source de la connaissance
Discours contre les iconoclastes
La foi orthodoxe
Homélies sur la Nativité et la Dormition

Saint Jean Damascène, icône grecque.

Jean DamascèneouJean de Damas (enarabe : يُوحَنَّا ٱلدِّمَشْقِي, Yūḥannā ʾal-Ddimašqī ; en grec ancien : Ἰωάννης ὁ Δαμασκηνός) ou Jean Mansour, de son nom en arabe Mansour ibn Sarjoun (مَنْصُور بِن سَرْجُون ٱلتَّغْلَبِي, Manṣūr bin Sarǧūn ʾal-Ttaġlabī), est un moine, prêtre (hiéromoine), théologien, apologisteethymnographe chrétien d'origine arabe, écrivant en langue grecque. Il est né à Damas vers 675-676 et mort selon la traditionaumonastère de Mar Saba, près de Jérusalem, le .

Polymathe dont les domaines d'intérêt et de contribution incluent le droit, la théologie, la philosophie et la musique, il est surnommé Chrysorroas (Χρυσορρόας, littéralement « ruisselant d'or », c'est-à-dire « l'orateur d'or »). Il est l'auteur d'œuvres exposant la foi chrétienne et d'hymnes toujours utilisés à la fois dans la pratique liturgique de l'Église orthodoxe et dans le servicedePâquesduluthéranisme[1].

Il est l'un des Pères de l'Église[2] et l'Église catholique le compte au nombre de ses docteurs[3]. Surtout connu pour sa défense des icônes[2], il est également un défenseur important de la périchorèse, concept qu'il utilise pour décrire à la fois l'interpénétration des natures divine et humaine du Christ et la relation entre les hypostases de la Trinité[4].

Biographie[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

La principale source d'informations sur sa vie est un ouvrage écrit trois siècles après sa mort et attribué à un certain Jean de Jérusalem, identifié parfois à un patriarche de Jérusalem[5]. Il s'agit d'une traduction en grec d'un texte arabe perdu en partie. L'original arabe contient un prologue absent dans la plupart des traductions et rédigé par un moine arabe du nom de Michel, qui explique qu'il décide d'écrire cette biographie en 1084 car aucune n'est disponible de son temps[5]. Cependant, le texte arabe principal semble avoir été écrit par un auteur inconnu antérieur, quelque part entre le début du IXe et la fin du Xe siècle. Rédigé d'un point de vue hagiographique et marqué par l'exagération et la légende, l'ouvrage n'est pas la meilleure source historique possible, mais il est largement reproduit pendant le Moyen Âge tardif et reste considéré comme contenant quelques éléments de valeur[5].

Origines[modifier | modifier le code]

Jean Damascène naît dans une éminente famille chrétienne arabedeDamasauVIIe siècle[6],[7]. Ses origines tribales ne sont pas connues : pour certains chercheurs, il est plausible qu'il vienne des Banu Kalb ou des Banu Taghlib[5] ; mais il pourrait aussi avoir des origines syriaques et la question est encore discutée chez les historiens[5],[8].

Son grand-père, Mansour ibn Sarjoun, est chargé de la collecte des impôts de la région par l'empereur romain Héraclius[9] ; impliqué dans les négociations des Damascènes avec Khalid ibn al-Walid lors de la prise de la cité en 635, il offre la ville aux musulmans en échange de conditions de reddition clémentes[5],[10],[8]. Son père, Sarjoun ibn Mansour, dénommé en grec Serge ou Jean, sert les premiers califes omeyyades à des postes importants : il perçoit des taxes dans l'ensemble du Moyen-Orient[9] et plus particulièrement en Syrie, où il est chargé de l'administration fiscale[11]. À la naissance de son fils, Sarjoun lui donne le nom de Mansour, par papponymie.

Éducation[modifier | modifier le code]

Jean est éduqué à Damas. Des récits folkloriques, le peignent fréquentant à cette époque le jeune calife Yazid Ier et le poète arabe chrétien Al-Akhtal[7]. L'une des vitae décrit le désir de son père qu'il « apprenne non seulement les livres des musulmans, mais aussi ceux des Grecs »[12],[N 1]. Jean a probablement reçu une éducation musulmane normale, puis plus diversifiée à partir de ses douze ans[13]. Plus tard, il montre une certaine connaissance du Coran, qu'il critique vivement dans ses écrits[14].

D'autres parmi les sources hagiographiques qui fleurissent à partir du Xe siècle décrivent une formation menée selon les principes de l'éducation classique grecque, « laïque » pour une source et « chrétienne classique » pour une autre[15],[16]. Un récit identifie son tuteur à un certain Cosmas le Moine, qui aurait été kidnappé par des Arabes à son domicile en Sicile, et que Sarjoun ibn Mansour aurait racheté pour un prix élevé[15].

Vie et défense des icônes[modifier | modifier le code]

Nombre d'auteurs, à la suite de son biographe Jean de Jérusalem[17], affirment que, dans la continuité de son ascendance paternelle, Jean a servi comme haut fonctionnaire dans l'administration fiscale du Califat omeyyade, sous Abd Al-Malik, avant de quitter Damas et ses fonctions, vers 705, pour Jérusalem et l'habit de moine[18]. Cependant, contrairement à ses père et grand-père, il n'est pas mentionné dans les archives omeyyades[17], ce qui conduit l'historien Robert G. Hoyland à nier une telle appartenance. D'autres, relevant que les actes du deuxième concile de Nicée, en 787, le comparent à Matthieu l'Évangéliste, estiment qu'il a vraisemblablement exercé, comme l'apôtre, la fonction de collecteur d'impôts[19] [20],[21] mais à un niveau moins élevé que celui de ses aïeux et n'impliquant pas d'être cité dans les archives. La nature exacte d'une telle position reste toutefois discutée[19] : ainsi, Jean Meyendorff doute qu'elle ait suffi à lui assurer une bonne connaissance de l'islam[22], tandis que Daniel J. Sahas invite à ne pas en sous-estimer l'importance[23]. Il devient moine à Mar Saba et est ordonné prêtre en 735[10],[24].

Saint Jean de Damas tenant un rouleau avec une hymne à la Théotokos, icône grecque de 1734.

À partir du VIIIe siècle, l'iconoclasme, une position religieuse hostile à la vénération des icônes et à la représentation anthropomorphe de Jésus-Christ, gagne un soutien important au sein de la cour byzantine et de certains cercles religieux[25]. En 726, malgré les protestations du patriarche de Constantinople Germain Ier, l'empereur Léon III l'Isaurien publie un premier édit contre la vénération des images et leur exposition dans les lieux publics[25]. Jean Damascène prend la défense des icônes en trois publications distinctes, intitulées Traités contre ceux qui décrient les saintes images, où il critique l'empereur byzantin dans un style simplifié, propre à susciter dans le peuple un mécontentement contre les iconoclastes[25]. Il introduit dans le christianisme la différence entre l’adoration (latrie), propre à Dieu, et la vénération (dulie) qui lui est adressée par l’entremise des images saintes, c’est-à-dire celles de Jésus-Christ, de Marie de Nazareth et des saints officiels[5],[16],[26].

Icône Tricherousa, de la Mère de Dieu aux trois mains. Celle qui est argentée est, selon la légende, la main droite coupée de Jean Damascène.

Dans les récits hagiographiques, un épisode légendaire prétend que Léon III fait produire de faux documents impliquant Jean dans un projet byzantin d'attaque de Damas. Supposément appelé par le calife à rendre compte de ces lettres, Jean ne peut le convaincre et est condamné à avoir la main droite tranchée, et à quitter la cour du calife. À la suite d'une prière insistante auprès de la Mère de Dieu, devant une icône de celle-ci, il aurait eu la main recollée miraculeusement, et se serait présenté devant le calife avec ses deux mains. Celui-ci, vivement impressionné, aurait compris son innocence et aurait voulu le réintégrer à son poste, mais Jean aurait refusé et choisi de devenir moine[27]. Il aurait alors fait confectionner une main en argent et l'aurait ajoutée à l'icône devant laquelle il aurait prié, en signe de reconnaissance. Cette légende est l'origine d'un type d'icône byzantine appelé la Mère de Dieu aux trois mains. Tout cet épisode est considéré comme légendaire par l'ensemble des chercheurs et des historiens spécialistes de Jean Damascène[16],[25],[28],[29],[30].


Critique de l'islam, du nestorianisme et dernières années[modifier | modifier le code]

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La date et le lieu précis de sa mort ne sont pas connus, bien que la tradition la situe au monastère de Mar Saba, près de Jérusalem, le [2]. Il semble admis qu'elle est antérieure au concile de Hiéreia, qui le condamne en 754[31].

Saint Jean Damascène, icône russe du mont Athos.
Saint Jean Damascène, icône grecque.

Destin posthume[modifier | modifier le code]

À cause de son engagement en faveur de l'iconodulie, il est frappé d'anathème par le concile iconoclaste de Hiéreia, en 754[32],[33],[34]. Il est plus tard réhabilité par le Deuxième concile de Nicée, en 787[32]. Deux membres ultérieurs de sa famille deviennent possiblement patriarches de Jérusalem : Serge Ier de Jérusalem (842–858) et Élie III de Jérusalem (879–907)[14].

Rangé parmi les Pères de l'Église[35], il est fêté le , jour de sa mort, par l'Église orthodoxe et l'Église catholique[36],[37].

L'iconographie byzantine le représente avec un turban, signe de ses origines arabes et de sa connaissance de la langue arabe[38].

Dans l'Église catholique, où son nom est inscrit au Martyrologe romain en 1892, il est initialement affecté au 27 mars. Comme cette date relève toujours du Carême, une période pendant laquelle il n'existe pas de mémorial obligatoire, sa fête est déplacée en 1969 au jour de la mort du saint, le . Il est déclaré Docteur de l'Église catholique par le pape Léon XIII en 1890[36].


Œuvres de Jean Damascène[modifier | modifier le code]

Introduction à ses œuvres[modifier | modifier le code]

Quoiqu'il s'exprime probablement en arabe et/ou en syriaque, il rédige tous ses traités en grec[5]. Auteur prolifique, il laisse une œuvre abondante[5], mais où l'attribution de certains textes est parfois discutée ou même unanimement rejetée[5],[39].

Ses canons liturgiques, qui sont toujours chantés dans l'Église orthodoxe et le luthéranisme, font de lui l'un des principaux hymnographes byzantins. Il écrit aussi une somme connue sous le titre de De fide orthodoxa, ainsi que des écrits concernant l'islam[40] ou encore des homélies sur la Vierge Marie[41].

Dans une homélie célèbre sur l'Annonciation, il salue la Vierge comme étant la Mère de la vertu théologale d'espérance, Notre-Dame de la Sainte-Espérance (spes en latin) qu'il appelle « Espérance des désespérés », ce qui fut repris par les catholiques dans l'invocation et la prière à Marie « Notre-Dame du Sacré-Cœur, espérance des désespérés » parfois attribuée à Éphrem le Syrien.[réf. nécessaire] Il développe une théologie mariale importante[41].

Le roman hagiographique Barlaam et Joasaph, traditionnellement attribué à Jean Damascène, est en réalité une œuvre du Xe siècle[39].

Liste d'œuvres[modifier | modifier le code]

Saint Jean Damascène, icône arabe.
Édition en latin titrée
S. Ioannis Damasceni Opera (Travaux de saint Jean Damascène) datant de 1603.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

En français[modifier | modifier le code]

En anglais[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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  • (en) Catholic Encyclopedia
  • Écrits de Jean Damascène consultables en ligne[modifier | modifier le code]

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    Notes[modifier | modifier le code]

    1. Même affirmation dans la Vie de Cosmas et Jean Damascène (BHG 394), 4, éd. Papadopoulos-Kerameus, p. 273, qui montre Jean exprimant à son père son désir d'apprendre « μὴ μόνον τὰς τῶν Σαρακηνῶν βίβλους, ἀλλὰ καὶ τὰς τῶν Ἑλλήνων παρὰ τοῦ διδασκάλου » (« non seulement les livres des Sarrasins, mais aussi ceux des Grecs, auprès du maître »). « Le mot Sarrasin est sans doute à prendre ici dans le sens d'arabe et non de musulman », note R. Le Coz dans son édition des Écrits sur l'Islam de Jean Damascène (Paris, 2019 ; SC n° 383, p. 50)

    Références[modifier | modifier le code]

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    « It seems that up until he was twelve, John underwent a traditional Muslim education. We are also told in one of the vitae that Sargun b. Mansur wanted a Greek tutor for his son so that he could learn “not only the books of the Muslims, but those of the Greeks as well.” John grew up as a bilingual and bicultural person, standing at the threshold of the transition from Late Antiquity to Early Islam. »

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    « The derivative Greek Lives rnake ever more grandiose claims, and that John was a senior official in the Muslim government has been accepted by all modern scholars. Yet there is no mention at all of John in Arabic sources, where it is asserted that Sarjun left ca. 700 when the language of administration was changed to Arabic. »

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    « If we are to believe this traditional account, the information that John was in the Arab administration of Damascus under the Umayyads and had, therefore, a first-hand knowledge of the Arab Moslem civilization, would, of course, be very valuable. Unfortunately, the story is mainly based upon an eleventh- century Arabic life, which in other respects is full of incredible legends. Earlier sources are much more reserved. »

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  • L'image incarnée : trois controverses contre les adversaires des saintes images. Défense et illustration des saintes icônes.
  • Pour expliquer comment le Christ était à la fois un homme véritable et le Fils de Dieu, le patriarche Nestorius de Constantinople élabora une doctrine qui fut rejetée par le concile œcuménique d'Éphèse en 431.

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